Petite sortit pour la fin de semain [Jolianne]

C'était peut-être la première fois qu'elle voyait quelque avoir une dialyse,mais bientôt se sera du quotidien pour elle, car Élizabelle devait quand même le faire plusieurs fois par jour a tout les jours. Elle était heureuse que sa petite soeur soit avec elle et qu'elle veule bien l'aider avec tout les procédure . C'était leur petit moment a elle, pendant qu'elle laissait couler le liquide, elle écoutait sa soeur qui lui parlait. Elle aimait bien sur parler avec sa petite soeur qui se mit a la questionner sur la greffe de rein qu'elle devait avoir. Donc elle lui répondit avec un grand sourire.

« Non je n'aurai plus a faire ma dialyse , si je fais cette dialyse ses que mes reins n'arrive plus a filtré le sang pour éliminer les déchets que mon corps produit. Et quand je fait ma dialyse le liquide qui passe par ce cathétère vas dans mon abdomen et a cause des membranes de mes organes les échanges se font comme dans mes reins alors les déchets son filtré dans le liquide. Tu vas voir tout a l'heure la couleur de l'eau va avoir changer.»

Elle ne savait pas si sa soeur avait pigé quoi que se soit a son explication , mais si elle n'avait rien comprit elle se ferait un plaisir de lui expliquer plus simplement et en lui faisant peut-être un schéma même si elle était nul en dessin contrairement a sa soeur. Elle regarda sa soeur et lui sourit. Elle savait que sa soeur avait peur de lui faire mal, car tout se qu'elle avait a l'abodmen pour sa dialyse pouvait faire croire au gens qu'il pouvait leur faire mal s'il reçoive par exemple un coup dans les abdos. Mais Élizabelle n'avait pas du tout mal , alors elle serra sa petite soeur contre elle qui semblait avoir peur de se rapprocher d'elle.

« J'ai l'impression que tu as peur de moi , parce que j'ai ce cathétère .»

Dit-elle parce que l'adolescente ne venait pas se blottir contre elle , comme elle le faisait avant . Elle voulait simplement la rassurer qu'il n'y avait pas de danger. Le liquide venait de fini de s'écouler donc Élizabelle montra a sa soeur comment faire pour aller tout cela. Comme ca si un soeur elle était trop fatiguer pour le faire ou si sont état changeait subitement Jolianne savait quoi faire pour sa dialyse.

Sa soeur lui parla bien sur du fait qu'elle était heureuse que sa soeur veule écrire une chansons avec elle. Donc elle lui sourit quand la jeune femme lui dit de lui faire signe quand elle avait une idée. Des idées elle en avait toujours , mais bien souvent cela ne sortait pas comme une chansons toute faite sur une feuille de papier cela ressemblait plustôt a un fouillit. Elle ne savait même pas comment elle fait elle même pour se retrouver . Donc elle ne savait pas si la jeune femme pourrait réussir a la suivre. Elle avait envie de savoir comment sa petite soeur avait trouver la chansons qu'elle avait écrite pour elle. Donc elle lui dit simplement.

« Est-ce que tu as aimer les chansons que j'ai chanter se soir ?»

Dit-elle avec le sourire. Sa soeur saurait toute de suite qu'elle parlait bien sur de la chanson qu'elle avait nommé Bambina et qui parlait de la relation mère-fille qu'elle avait sa petite soeur. C'était enfaite une chanson qui pour certain pouvait comprendre comme le fait qu'une femme d'âge mur est a la recherche de l'enfant en elle. Mais pour Jolianne et Élizabelle c'était autres choses , mais tous on des opinions différent sur différente chansons. Mais pour sa par Élizabelle adorait cette chansons elle était vraiment heureuse du résultat. Ce soir elle avait chanter qu'en français , mais elle écrivait aussi en Anglais et en Italien ... La langue dans laquelle elle aimait le plus chanté était bien sur le français. Car les paroles des chansons lui venait naturellement en français tandis qu'en d'autres langue moins.

Elle caressa doucement les cheveux de sa petite soeur qui c'était rapprocher d'elle. Elle l'embrassa de nouveau sur le frond. Elle savait que cela la rassurait et elle avait l'aire d'avoir besoin d'être rassurer. Donc elle regarda sa soeur quand elle lui parla du dessin.

« Mais qu'est-ce que tu racontes la , Jolianne tu sai bien que je serai toujours la pour toi quoi qu'il arrive. Je suis toujours disponible pour toi tu le sai très bien cela. Tu n'as pas a te sentir abandonner par moi ,car je ne t'abandonne pas. J'ai peut-être Julie et Audrey , mais mon coeur est assez grand pour que tout le monde aille sa place. Je ne veux plus que tu pense que je t'abandonne , car ce n'est pas du tout le cas.»

Dit-elle rapidement après que sa soeur lui aille dit qu'elle se sentait rejeter elle voyait bien que sa soeur était triste de cela. Jolianne baissa le regard , mais Élizabelle prit le menton de sa soeur et elle le releva pour que sa soeur la regarde das les yeux quand elle lui parlait. Elle voulait vraiment que sa soeur comprènne qu'elle ne l'abandonnerai jamais . Elle sera toujours sa grande soeur , sa deuxième maman . Elle avait toujours du temps pour sa soeur . Peut-être parfois les moments serait plus cours , mais bien sur quand elle aurait plus de temps elle en consacrerai une grosse partie a sa soeur. Car elle est proche d'elle depuis sa naissance et elle ne voulait pas du tout perdre cette relation si spéciale qu'elle avait avec sa petite soeur. Elle aimait vraiment beaucoup et cela Jolianne le savait très bien. Si elle ne le savait pas elle l'avait sut se soir quand elle lui avait chanter la chansons . Elle espèrait que sa petite soeur avait comprit le message qu'elle voulait lui faire passé.

Élizabelle prit son cahier qu'elle avait près de son lit et elle le montra a sa soeur elle avait décider de lui montrer comment elle faisait avait l'une de ses chansons. Donc elle lui expliquait qu'elle commençait par écrire tout se qu'elle avait en tête sur une feuille blanche . Peux importe ou et comment elle l'écrivait.Elle lui dit en riant un peux.

« C'est parfois tellement le fouillis dans ma feuille et souvent mal écrit que je ne sai pas comment je fais pour me relire.»

Jolianne pouvait le jugé d'elle-même elle avait habituellement une belle main d'écrire dans les feuilles ou elle faisait le vide de sa tête et c'était sur cette même feuille qu'elle prenait ses idées de chanson c'était le fouillis totale. Elle était surement incapable de relire se que sa soeur avait écrite. Donc elle lui montra la dernière chansons qu'elle était entrain d'écrire. C'était une chansons d'amour.

Elle n'avait pas encore écrit grand choses ,mais elle pouvait bien voir le processus sur cette chansons.

[hj:la chansons qu'elle lui montre est la chansons Aime.]

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Elizabelle faisait sa dialyse, Jolianne comprit qu'elle en verrait encore plusieurs, elle se doutait que sa soeur devait en faire plusieurs fois par jours. Jolianne se posait pas mal de question, mais elle pouvait en parler avec plusieurs personnes, dont ses parents, sa soeur, Derek et Connor. Elizabelle sourit avant de lui dire qu'il n'y aurait plus de dialyse quand elle aura un rein qui fonctionne comme il faut, puis elle lui expliqua ce que ça faisait, Jolianne comprit car elle avait vu ça en cours. Jolianne sourit et lui dit d'une voix douce:

"D'accord, j'ai vu a en cours. Au départ je ne voyais pas ce que c'était maisc'est beaucoup plus clair, maintenant que je le vois de mes propres yeux."

Jolianne avait comprit vu qu'elle avait vu en cours, heureusement qu'elle connaissait un peu la matière. Elizabelle souriait, Jolianne avait peur de faire mal à sa soeur pourtant celle-ci la prit contre elle, Jolianne se blottit tout contre elle. Puis elle entendit Elizabelle parler. Elle avait deviné sa peut. Elle sourit et dit:

"Je n'ai pas peur de toi, mais de te faire du mal, parce que tu as le cathéter"

Elle savait qu'elle disait ça car Jolianne ne venait pas près d'elle, comme elle le faisait avant, pourtant quand elle la prit dans ses bras, elle se sentit rassurer. Le liquide venait de finir de s'écouler, Elizabelle montra à san soeur ce qu'il fallait faire comme ça si Elizabelle était trop fatiguée, ou pas bien, elle s'en occupera. Jolianne prit son carnet, et nota ce qu'il fallait faire, comme ça elle saurait et si elle avait un trou de mémoire par la panique, elle pourrait toujours regarder. Jolianne lui parla bien sur de son ressenti, Elizabelle sourit à ses paroles, Jolianne ne savait pas ce que sa soeur pensait, puis elle lui demanda si elle avait aimé les chansons qu'elle avait chantée, Elizabelle sourit, Jolianne avait aimé toutes ses chansons, malgré qu'elle faisait la tête et qu'elle avait les écouteurs sur les oreilles. Jolianne dit à sa grande soeur :

"Oui j'ai aimé surtout la première chanson, je crois avoir reçu un message personnel dans cette chanson, mais je me trompe surement, c'est surement pour Audrey et Julie, tes filles... "

Elle parla rapidement, puis Jolianne baissa le regard, mais Elizabelle, lui prit le menton afin de relever sa tête, Elizabelle voulait qu'elle la regarde dans les yeux. Mais Jolianne avait du mal. Rien ne serait plus comme avant, et Jolianne en avait peur. Elizabelle prit un cachier qu'elle avait près de son lit, elle ne connaissait pas ce cachier, elle ne savait pas d'où il venait, mais elle vit alors les textes de sa soeur. C'était le fouilli dans ses feuilles. Jolianne sourit un peu. Jolianne remarqua la nouvelle chanson qu'elle était entrain d'écrire. A en lire les phrases, les mots, c'était une chanson d'amour... Dans la tête de Jolianne des paroles fusèrent dans sa tête, elle prit le bic qui se trouvait tout près d'elles. Et commença doucement à les écrires. Mais elle dit à sa soeur, sans même la regarder:

"J'ai une idée de paroles qui me vient, regarde"

"Âme ou sœur
Jumeau ou frère
De rien mais qui es-tu ?
Tu es mon plus grand mystère
Mon seul lien contigu
Tu m'enrubannes et m'embryonnes
Et tu me gardes à vue
Tu es le seul animal de mon arche perdue

Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit"

Par contre Jolianne trouvait qu'entre les 8 premières phrases et les 4 qu'elle venait d'écrire il manquait quelque chose... Jolianne lui demanda :

"Tu trouves pas qu'il manquerait quelque chose entre ?"

Élizabelle avait réussit quand même a bien expliquer se qui se passait a sa soeur , car cette dernière avait quand même réussit a lui faire comprendre se qu'elle venait de lui dire. Elle était heureuse que sa soeur veule l'aider autant , puisqu'elle la voyait maintenant prendre des notes pour ne pas faire d'erreur. Elle trouva sa vraiment super de la part de sa soeur. Elle était heureuse d'avoir une soeur aussi prévenante que Jolianne.

Puis la jeune femme lui dit qu'elle avait peur de lui faire du mal , mais elle ne lui fera pas de mal. Donc elle lui dit avec le sourire.

« Tu peux te coller tant que tu veux, tu ne me fera pas mal.»

Dit-elle avec le sourire. Elle voulait être coller contre sa soeur et elle savait que Jolianne aussi voulait venir dans ses bras. Donc elle la rassurait en lui disant qu'elle ne lui ferait pas mal si elle était coller contre elle.

« Le seule moment ou cela pourrait me faire mal c'est si quelqu'un tire sur le cathéter, présentement ,je ne le sent même pas.»

Dit-elle avec le sourire. C'est vrai que si quelqu'un lui retirait a froid et sans faire attention cela pouvait lui faire mal sinon il était la depuis longtemps et elle ne le sentait pas du tout. Donc elle ne lui fera pas mal. Elle regarda sa soeur qui lui parlait maintenant de la chansons Bambina qu'elle avait chanter pour sa soeur. Elle avait bien sur vue le message que comptenait sa chansons , mais elle croyait que c'était pour Audrey et Julie, mais ce n'était pas du tout pour elles , mais bien pour sa petite soeur.

«La chansons était pour toi et pas pour Audrey et Julie , je ne l'ai connaissait pas vraiment , David m'en avait simplement parler quand j'ai écrite cette chanson.»

Elle l'avait écrite quelque mois avant qu'elle ne tombe malade , tout juste avant que sa soeur revienne pour les vacances du printemps. Elle avait eux envie de lui montrer durant cette période , mais elle n'avait pas eu le temps de le faire. elle n'était même pas avec David a cette époque. Ils ont commencer a sortir ensemble quelque semaine après qu'Élizabelle soit rentré a l'hôpital.

Et puis Audrey et Julie n'était pas vraiment ces filles a elle , mais bien ses belles filles , donc elle n'avait pas vraiment le lien qu'avait une mère avec ses filles. Comme elle l'avait avec Jolianne , car elle avait 15 ans quand sa petite soeur est né et elle aidait beaucoup sa mère a s'occuper de sa petite soeur donc c'était un peux comme si elle l'avait élever.

«Et Julie et Audrey ne son pas mes filles , mais bien mes belles-filles donc pour elles je ne suis pas leur mère. Elles ont leur mère a elle comme toi et moi nous avons maman.»

Elle avait été un peux vague la dessus.Elle espérait que sa soeur aille comprit sinon elle lui dirait de laisser faire que ce n'était pas importer. C'était un concept assez dure a expliquer. Puis elle lui montra les paroles de chansons qu'elle écrivait. Et sa soeur lui dit qu'elle avait une idée de parole.Elle lui dit qu'elle pouvait l'écrire dans son cahier si elle le voulait a la suite de la chansons qu'elle avait écrite.

Elle regarda les paroles que sa soeur avait écrite en bleu dans son cahier. Puis quand sa soeur lui dit qu'il manquait quelque chose entre les deux couplet elle pensa a quelque chose donc elle sortit de son sac une étuis a crayon et elle prit son stylo Rouge et elle écrit pas mal le même nombre de phrase que sa soeur.

"Âme ou sœur
Jumeau ou frère
De rien mais qui es-tu ?
Tu es mon plus grand mystère
Mon seul lien contigu
Tu m'enrubannes et m'embryonnes
Et tu me gardes à vue
Tu es le seul animal de mon arche perdue''

''Tu ne parles qu'une langue Aucun mots déçu
Celle qui fait de toi mon autre
L'être reconnu
Il n'y a rien a comprendre
Et que passe l'intrus
Qui n'en pourra rien attendre
Car je suis la seule A les entendre
Les silence et quand j'en tremble''

''Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit"

''Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini''

c'était étrange les paroles lui venait comme ca sans qu'elle aille besoin de chercher les paroles comme elle les cherchait habituellement. Elle n'avait jamais été capable d'écrire une chansons comme celle la en si peux de temps.

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Jolianne avait comprit, et avait tout retenu, mais parfois en cas de panique, elle pouvait oublié donc pour ne pas faire d'erreur, elle préférait l'écrire dans un endroit où elle trouverait facilement la marche à suivre. Jolianne qui écrivait, entendit sa soeur, qui disait qu'elle pouvait se coller tant qu'elle voulait, car elle ne voulait pas lui faire mal. Jolianne se blottit plus encore contre sa soeur, en faisant quand même attention, mais en étant proche comme avant, Jolianne ne voulait pas répondre oralement, mais ce geste en disait assez long. Elizabelle sourit, Jolianne aimait la voir ainsi, ça lui faisait un peu oublier la maladie. Puis sa soeur, répliqua que le seul moment où elle pourrait avoir mal c'était si quelqu'un tire sur le cathéter mais ici, elle ne le sentait pas. Jolianne lui dit :

"D'accord, je ferais quand même attention à ne pas tirer dessus, très attention même."

Elle souriait, Jolianne sourit, un sourire vraiment rassurant. Elizabelle la regardait, Jolianne savait qu'il y avait un message personnel dedans, et une partie d'elle, disait que c'était pour elle et non pas pour les deux autres filles, mais une plus grosse partie, disait que c'était rien que pour Julie et Audrey. Pourtant, sa soeur lui dit que la chanson était pour elle, et pas pour les deux filles, donc sa petite partie avait raison de penser ça. Elle ne connait pas assez les filles, David lui en avait parler simplement quand elle avait écrit cette chanson. Jolianne fut un peu rassurée, elle se cacha contre sa soeur.

"C'est vrai ? Ah d'accord, ça fait longtemps que tu l'as écrite cette chanson ? Tu as les paroles, j'aimerais avoir un exemplaire dans mon carnet. Comme ça je l'aurais toujours avec moi dans les moments plus dur mais aussi joyeux. Enfin si tu veux bien ?"

Pour Jolianne c'était ses filles quand même car elle vivrait avec elles, elle leur donne de l'amour, est là pour elles. Donc pour Jolianne, elle ne voulait pas faire la différence. Selon elle, ce n'était pas leur mère, mais pourtant Julie aimait beaucoup Elizabelle, et la considérait comme telle... Elle lui avait dit, Jolianne savait tout ça, mais elle n'aimait pas partagé sa deuxième maman avec quelqu'un d'autre. Enfin elle ne dit rien, elle n'avait rien à dire sur ça. Jolianne avait remarqué qu'elle avait été vague sur ce sujet. Puis ensembles, elle regarda les paroles, elle vit sa soeur prendre un plumier et elle sortit un stylo rouge, et elle nota quelques paroles... Jolianne réécrit un petit couplet, car elle n'avait plus d'idée pour le moment, mais cette chanson, ça ne la dérangerait pas que sa soeur la chante...

''Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini''

Et si l'un de nous deux tombe
L'arbre de nos vies
Nous gardera loin de l'ombre
Entre ciel et fruit
Mais jamais trop loin de l'autre
Nous serions maudits
Tu seras ma dernière seconde
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble

Élizabelle était vraiment heureuse d'être comme ca avec sa petite soeur cela lui rappelait de bon souvenir. Et elle aimait bien se rappeler de se genre de souvenir avec sa petite soeur, car cela lui donnait de l'inspiration pour se chansons. Elle pensait la plus par du temps a sa petite soeur quand elle écrivait c'est chansons, car c'était elle sa muse , son autre... Les deux jeunes femmes était toutes les deux asssez semblable , même si elle était si différente ...

Élizabelle avait hérité des talents artistique de sa mère tandis que sa soeur avait plutôt hérité des qualités intellectuelle de leur père. Cela faisait bien qu'elle était différente , mais elle se complètait très bien. Voilà pourquoi leur relation était si forte.Puis sa soeur lui demanda quand elle avait écrite cette chansons et si elle pouvait en avoir une copie. Bien sur qu'elle pouvait en avoir une copie. Si elle ne la trouvait pas dans son cahier Élizabelle la savait par coeur donc elle pouvait lui réécrire.

« Je l'ai écrite avant les vacances de printemps l'année dernière. Bien sur que tu peux en avoir un exemplaire , si je ne l'ai pas dans se cahier la je peux te la réécrire, je la connais par coeur.»

Dit-elle avec le sourire. Elle était heureuse d'être a la maisons et elle était aussi heureuse que sa soeur soi enfin de retour. Elle n'aimait pas quand elle était partie si loin pour si longtemps , elle aimait sa encore moins depuis qu'elle était malade. Car surtout au départ ces parents et elle ne savaient pas du tout si elle aurait passé au travers , car elle était vraiment malade. Elle n'aimait pas mieux pensé a la réaction de sa soeur si elle était morte et que sa soeur n'aille même pas été mise au courant .

Puis sa soeur écrit un nouveau couplet se qui donna une iée a Élizabelle.

Et si l'un de nous deux tombe
L'arbre de nos vies
Nous gardera loin de l'ombre
Entre ciel et fruit
Mais jamais trop loin de l'autre
Nous serions maudits
Tu seras ma dernière seconde
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble

Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit

Moi, je suis ton autre
si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini

«Vocalise»
Et si l'un de nous deux tombe

Messages : 260 Date d'inscription : 23/04/2011 Age : 28

Elizabelle semblait heureuse, tout comme Jolianne qui retrouvait peu à peu sa bonne humeur, et son sourire. Même si au fond d'elle, une peur était toujours là. Jamais elles n'avaient écrit de chanson ensembles, par contre chaque soir c'était des petites soirées comme ça, et ça lui rapellait de bons moments, certains d'ailleurs était écrit dans leur carnet. Jolianne savait que sa soeur, tenait plus de sa maman, elles parlaient le russe, elles jouaient du piano, elles dansaient et chantaient. Par contre Jolianne ressemblait plus son papa... Vu qu'elle aimait bien les voyages et les langues étrangères. Mais par contre le dessin, on ne savait pas de qui elle tenait ça. Jolianne savait surement que sa soeur voudrait bien lui donner une copie. Apparemment elle l'avait écrite pendant les vacances de printemps l'année passée. Et elle accepta de donner un exemplaire, Jolianne sourit.

"merci soeurette..."

Les deux soeurs souriaient, Elizabelle semblait heureuse d'être à la maison, Jolianne n'avait pas non plus aimé le départ, mais elle voulait tellement étudier autre part que dans son pays. Et puis elle voyagait. Mais par contre, elle aurait préféré qu'on la prévienne plus tôt qu'elle était malade, car si jamais Elizabelle serait décédée et que Jolianne n'aurait pas été mise au courant, Jolianne aurait fait la tête à ses parents, et elles n'auraient plus voulu les voir. Et serait à son avis retourner au près de sa soeur dans les cieux, mais elle ne voulait plus pensé à ça. Jolianne vit sa soeur écrire de nouveau, elle lit en même temps, Jolianne souriait elle aimait cette chanson plus que les autres encore car elle l'avait écrite avec sa soeur, Jolianne sourit encore plus et dit à sa soeur :

"Elle est magnifique cette chanson, c'est parce qu'on l'a écrit toutes les deux, si tu veux tu pourras la chantée aussi. Par contre je ne sais pas s'il faudra en parler à maman et à papa, ou si on la garde que pour nous deux ? Tu en penses quoi ?"

En parlant de russe, Jolianne se demandait pourquoi les deux filles avaient parler le russe, Jolianne ne comprenait pas cette langue, donc elle avait l'impression qu'on lui cache quelque chose. Va t-elle mourrir bientôt ? Ou une greffe est elle arrivé ? Elle se posait tellement de question, elle demanda une explication mais surtout si c'était sur elle qu'elles parlaient :

"Tantôt tu as parlé en russe avec maman ? Vous parliez de moi ? Tu sais que je n'aime pas cette langue, que je n'aime pas tellement quand vous faites ça en ma présence. J'ai l'impression qu'on me cache quelque chose d'important..."

Elle préférait être franche avec sa soeur, que d'attendre et de tourner autour du pot.

Élizabelle était heureuse que la jeune femme aime la chansons au point d'en demander une copie a sa soeur aîné donc elle lui passa son cahier ou devait être écrite la chansons qu'elle avait chanter se soir. Elle regarda la jeune femme et lui sourit. Puis elle l'embrassa tendrement sur le front. Elle était bien avec sa soeur. Elle ne voulait pas être ailleurs présentement. Elle ne voulait pas du tout que sa soeur s'inquiète pour quelque choses. Elle se demandait quand la jeune femme allait lui demander pourquoi elle avait parler en Russe avec sa mère, elle lui dirait se qu'elle avait dit.

Puis sa petite soeur la remercie pour la chanson dont Élizabelle lui dit avec le sourire.

« Mais de rien.»

Dit-elle avec le sourire. Elle ne savait pas du tout de quoi parler présentement donc elle resta silencieuse quelque seconde et elle lui dit avec le sourire. quand sa soeur parla de la chansons.

« C'est vrai qu'elle est superbe. Je crois bien que papa et maman aimerais l'entrendre... On a cas la garder pour la famille. »

Dit-elle avec le sourire. Elle était vraiment contente du résultat de se qu'elles avaient écrite ensemble . C'était leur chansons a elle et elle aimerais bien que sa soeur la chante avec elle, donc elle lui dit :

« Que dirais-tu de la chanter avec moi.. lorsque nous la montrerons au parents si tu veux qu'ils l'entendent.»

Dit-elle avec le sourire. Elle était vraiment heureuse présentement puis sa soeur lui parla du fait qu'elle avait parler en russe avec sa mère tout a l'heure et comme Jolianne ne comprenait rien au russe elle, donc elle lui dit fianlement :

« Nous avons parler du fait que nous sommes tous inquiet . Nous nous te reconnaissons plus et moi la première. Et maman crois qu'il faudrait que peut-être tu aille voir un psychologue pour parler de tes problèmes que tu ne semble pas vouloir nous en parler.»

Dit-elle franchement , elle avait peur que sa sœur soi fâché contre elle, mais elle ne voulait pas non plus lui cacher la vérité.

Messages : 260 Date d'inscription : 23/04/2011 Age : 28

Jolianne vit Elizabelle prendre le cahier où elle avait écrit la chanson, elle lui passa, et Jolianne le prit délicatement, elle recopierait tout à la main ou alors sur son ordinateur et l'imprimera. Elizabelle posa son regard sur elle, et lui sourit, Jolianne lui rendit ce sourire, elle ferma les yeux quelques seconde quand elle sentit un bisou sur le front. Jolianne était bien avec sa soeur. Jolianne ne s'inquiétait presque plus, elle avait sa soeur à la maison avec elle. Jolianne sourit à sa soeur quand elle-même lui sourit. Elizabelle resta silencieuse pendant un moment, peut-être qu'elle ne voulait plus parler, ou alors qu'elle ne savait pas de quoi parler. Elle la trouvait superbe aussi, puis elle dit que les parents voudront surement l'entendre, oui peut-être, elle voulait la garder que pour la famille, Jolianne était d'accord, par contre lors d'un concert, elle ne voudrait pas mais sur un disque bien... Jolianne lui dit simplement :

"Peut être, je suis ok pour la garder que pour la famille. D'ailleurs je n'aimerai pas qu'on la chante lors d'un concert... Sauf si toi tu le veux vraiment. Pour ce qui est de la chanter avec toi, je veux bien. Et tu pourras aussi leur chanter l'autre chanson... celle que j'ai appelé "Je t'aime... même si principalement le message qui est dedans est pour toi, rien que pour toi"

Dit elle avec le sourire. Jolianne regretta vite sa question, car sa soeur lui répondit franchement. Quand les filles devaient dire quelque chose c'était franchement, jamais les filles n'avaient parlé sur le dos des autres, du moins Jolianne même quand elle était fâchée, avec Manon elle disait que du bien d'elle. Elles avaient parler qu'ils étaient tous inquiet, qu'ils ne la reconnaissait plus et elle la première. Maman croit qu'il faut aller voir un psychologue, pour parler des problèmes, mais ça ne ferait qu'empirer les choses. Vu qu'elle ne parle déjà pas à sa famille, elle ne parlera surement pas à un inconnu.

"Vous pouviez pas dire ça en français non ? J'ai changé, mais je suis pas la seule, toi aussi, tu n'es plus la même. Et maman croit qu'il faut que j'aille voir un psychologue ? Ca fera qu'empirer les choses, car si je ne me confie déjà pas à vous, je ne le ferait pas avec des gens que je connais pas. Ce serait jeter de l'argent par les fenêtres. De toute façon c'est vous qui avez le dernier mot, je n'aurais pas mon mot à dire. Mais je me renfermerais encore plus. Mais maintenant tu es au courant non ! Vu que je t'ai raconté la rumeur et la perte de mes amis. Et vivre loin de sa meilleure amie, c'est pas facile non plus. Désolée d'avoir changer, et que vous vous inquiétez pour moi."

Jolianne s'énervait un peu, mais elle contenait le plus gros en elle, elle ne voulait pas sauter du lit, ou partir, vu qu'elle pourrait faire du mal à sa soeur ce qu'elle ne voulait pas.

Jolianne était heureuse présentement, mais il se faisait tard et la fatigue recommençait a reprendre du terrain. Elle essayait de lutter contre le sommeille. Comme elle le faisait toujours comme quand elle était petite. Elle luttait toujours contre le sommeille. Elle n'avait jamais voulu allé se coucher tôt quand elle était jeune. Donc elle disait toujours a ses parents qu'elle n'était pas fatiguer et c'était le contraire.

Depuis le début de sa maladie c'était encore pire. Parfois elle se souvenait qu'a l'hôpital elle se levait et elle était encore plus fatiguer que quand elle c'était coucher la veille.

Elle pouvait dormir près de 20 sur 24 dans une journée. Surtout dans les débuts. Elle savait que David était toujours a ses côté dans les premiers mois, il était super inquiet pour elle. C'était tout a fait normal , c'est une très belle preuve d'amour. Élizabelle savait bien que sa soeur recommençait l'école le lundi, donc elle devait profité de ses derniers journée de congé pour se reposer...

« Bien sur que je pourrai chanté l'autre chansons , ou tu pourra la chanter pendant que je t'accompagne au piano, car je ne la connais pas l'autre chansons .»

Dit-elle avec le sourire. Elle était vraiment heureuse présentement. Puis sa soeur se frustra un peux. Éli le savait parce que la jeune femme n'était pas vraiment heureuse quand on lui imposait des choses et quand on lui demandait de faire des choses qu'elle ne voulait pas faire.

« Je sai bien que tu ne veux pas en parler , mais tu dois en parler a quelqu'un pour te vider le coeur et pour réussir a te sortir , peut-être que le simple fait de retourner a l'école ici t'aidera. Je ne sai pas quoi faire pour t'aider Jolianne. Et je sai que tu peux trouver que j'ai changer , mais se que je vis présentement n'est pas toujours facile et cela change les gens.»

Élizabelle avait peut-être changer , mais cela était tout a fait normal avec sa maladie elle devait être plus forte pour encaisser tout se qui se passait et elle était maintenant en amour et avait Julie et Audrey dans sa vie. Elle c'était rapprocher de ses parents tous cela était des facteurs qui pouvait faire changer des gens.

Messages : 260 Date d'inscription : 23/04/2011 Age : 28

Jolianne était heureuse pour le moment, mais elle sentait qu'elle le serait moins dans quelques minutes. Elizabelle semblait fatiguée, mais elle voudrait surement lutter contre la fatigue, ce qu'elle faisait souvent. Pourtant Jolianne savait que c'était mauvais. Jolianne ne luttait jamais contre ça, si elle était fatiguée, elle laissait le pays des rêves ou des cauchemars l'emportée jusqu'au lendemain voir une ou deux heures, parfois plus, après. Elizabelle lui dit avec le sourire qu'elle voudra bien chanté l'autre chanson ou alors Jolianne la chante, accompagnée au piano par sa soeur, car elle ne la connaissait pas. Jolianne lui dit :

"Tu es fatiguée ! Tu luttes contre le sommeil. Tu dois te reposer si tu veux être en forme demain pour aller voir ton chéri, et passer du temps avec tes belles filles. On verra en temps voulu car je déteste chanté devant du monde, et encore moins devant maman et papa."

Jolianne détestait qu'on lui impose des trucs. Elle savait qu'elle n'en parlerait pas, pourtant il fallait en parler pour vider ce qu'on avait sur le coeur. Jolianne pouvait très bien faire ça dans le dessin, d'ailleurs c'est ce qu'elle faisait. Lundi elle retournait à l'école, et elle en avait pas du tout envie, car elle savait comment ça se passera. Surement qu'elle se renfermera sur elle-même, et qu'elle ne parlera pas. Elle ne savait pas quoi faire pour l'aider, de toute façon tout était clair pour Jolianne, pour aider Audrey ou Julie il y aurait pas de problème mais l'aider elle, elle ne cherchera pas. Puis soit disant ce qu'elle avait la changeait, mais il y avait pas que ça.

"Je vide mon sac dans les dessins, quand je suis enfermée dans ma chambre, c'est ce que je fais, j'ai déjà 3 carnets remplit de dessins, ou j'ai dessiné ce que je ressentais. Toi tu te vide grâce à la danse, moi c'est le dessin, je ne parlerais pas au psychologue. Je ne lui montrerais rien, c'est sur. Je suis pas sur que ça m'aidera. Car j'aurais pas envie de parler non plus, la seule personne a qui je pouvais vraiment parler n'est plus là. Ne fait rien c'est encore le mieux. Mais il n'y a pas que ça qui te change, David et ses filles le font très bien... Et j'aime pas ses changements."

Jolianne se retourna maintenant elle allait retourner dans sa chambre, dessiner ou écrire. Car là elle ressentait quelque chose, mais qu'elle ne voudrait pas expliquer oralement car ça pourrait faire mal. Jolianne se leva et alla près de la porte. Elle lui dit :

"Bonne nuit et à demain..."

Tout se passait bien dans la chambre d'Élizabelle les deux jeunes femmes était coucher l'une contre l'autre dans le lit d'Élizabelle et elles discutaient de tout et de rien. Mais soudainement Jolianne changea de caractère et elle se braqua contre Élizabelle. La jeune femme ne l'avait jamais vue comme ca. Elle ne savait pas du tout pourquoi elle agissait comme ca. Cela rendrait triste, quelque larme roula même sur ses joues.

Élizabelle les essuya rapidement , car elle ne voulait pas du tout que quelqu'un les voit, même au moment son père entra dans sa chambre pour voir si tout allait bien , car il avait entendu Jolianne claquer la porte de sa chambre.

« Pierre : Qu'est-ce qu'il y a ma princesse ?
-Je ne sai pas se qui se passe avec Jolianne.
Pierre : Ne t'en fait pas ma chérie cela vas lui passé.»

Il appellait Élizabelle sa princesse depuis qu'elle était toute petite et il appelait Jolianne son bébé depuis sa naissance. C'était sa façon de leur dire Je t'aime. Puis quand il entra dans la chambre de l'aîné , il la retrouva en larme donc il s'assit sur le lit près d'elle et il la serra contre lui et l'embrassa sur le front. Élizabelle restait dans les bras de son père. Elle se demandait bien se qu'elle pouvait faire pour sa soeur. Car elle ne comprenait plus du tout son comportement.

« Je suis vraiment inquiète pour Jolianne , je n'arrive plus a la comprendre comme avant. J'aimerais tant que nous puissions retrouver notre relation d'avant.
Pierre: Elle va revenir , ma princesse , ne t'inquiète pas pour sa. Tu ne dois pas être inquiète pour tout tu dois pensé a ta santé avant , tu ne dois pas te rendre plus malade a cause de ta soeur.
- Mais Papa elle m'inquiète je n'y peut rien . »

Pierre serra sa fille dans ses bras et l'embrassa de nouveau sur le front.

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Tout se passait bien, jusqu'au moment où Jolianne se bloqua, se braqua, elle n'aimait pas parler des changements, que ce soit d'elle ou de sa soeur. Puis elle n'aimait pas parler de la rumeur non plus. Jolianne pleurait de rage, tandis qu'Elizabelle, malgré qu'elle essuya vite ses joues, pleurait de tristesse. Jolianne monta sur son lit, et la pression redescendit d'un coup, elle pleurait et pleurait encore de rage, elle tournait parfois en rond tel un lion enfermé dans une cage, de temps en temps elle faisait tombé des trucs, parfois que sa soeur lui avait offerte. Jolianne remonta sur son lit, elle se coucha en position foetale, et écouta, c'était son papa, il parlait avec son ainée. Encore une preuve de favoritisme par rapport à l'ainée, était ce le fait qu'elle était malade qu'on lui laissait et qu'on s'occupait plus d'elle ? Elle commença à écrire doucement dans un carnet...

"En ce moment je suis mal, mais est ce que vraiment on le comprend ? Je n'en suis pas si sure. Personne n'a vécu ce que moi j'ai vécu là bas, personne ne peut comprendre pourquoi j'ai si peur de créer des liens. Mon ex a fait de ma vie un enfer, il m'a privé de tous mes amis, je passais dans les couloirs et c'était des moqueries, seule Manon me comprenait, mais Manon n'est plus là, je n'ai plus mes repères, mon repère. En revant ici, je pensais que ça irait mieux, mais pendant longtemps on m'a caché une chose importante... Pourquoi me cache t on tant de chose ? Je me pose des questions ? J'apprends plusieurs choses en même temps, ça s'emboite, ça se rempli doucement, et il y a toujours une goute qui fait débordé un vase. Cette goutte c'est ma soeur, jamais un jour j'aurais pensé dire cela d'elle. Elle me fait tellement mal, et je ne parle pas de cette foutue maladie... Je suis tellement perdue en ce moment, mais au lieu de m'aider, on m'oblige presque à aller chez un psy. Ce que je ne ferais pas, car je me braquerai encore plus. Je préfèrerais encore qu'on m'achève, qu'on donne ce qui faut à ma soeur, et que je quitte ce monde, je serais tellement mieux sans eux..."

Jolianne se mit en position foetale, son père était avec sa soeur, sa mère ça devait être pareil. De toute façon il la préférait, c'était leur petite chouchoute, elle était tellement douée par rapport à Jolianne. Elle continuait maintenant à pleurer en silence. Ne voulant pas voir ses parents... Car elle savait déjà qu'elle recevrait une punition ou une engueulade. Surtout qu'elle entendait son père parler, mais il avait pas l'air de tellement s'inquiéter.

Élizabelle était épuiser se soir il se faisait tard et elle avait eu une superbe soirée . Quand elle était rentrer elle c'était mit en pyjama. Elle fini par s'endormir dans les bras de son père. Son père la borda et s'assit sur la petit chaise qu'il y avait dans la chambre d'Élizabelle et il la regarda dormir comme il faisait quand elle été enfant et qu'elle avait de la difficulté a dormir.

Pierre le père d'Élizabelle et de Jolianne n'arrivait pas a réalisé que ses filles avaient grandit si vite. Il n'était pas encore près a être grand-papa , même s'il l'était déjà puisqu'Élizabelle était maintenant maman , plutôt la belle-mère des filles de David. Il regarda sa princesse dormir, il avait toujours dit qu'elle avait l'aire d'un ange quand elle dormait et il trouvait que c'était encore plus vrai.

Azuria qui était dans sa chambre se demandait ou était son mari donc elle alla voir dans la chambre de l'aîné et elle la trouva assit sur une chaise regardant sa fille dormir. Puis elle la regarda dormir elle aussi quelque minute et elle se rapprocha de son mari et elle lui dit a l'oreille.

« Azuria : Laissons la dormir elle en a besoin.»

Pierre se leve de sa chaise et il vas donner un baiser sur le front de sa fille et elle lui donna un baisé sur le front de sa fille et ils refermèrent la porte en sortant. Puis Azuria et Pierre allèrent voir leur fille cadette . Ils frappèrent a la fille Cadette et attendirent une réponse.

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Jolianne se trouvait dans sa chambre, elle pleurait encore en silence, dans sa position foetale, la fenêtre était grande ouverte, mais elle s'en fichait de tomber malade. Même si elle savait que malade, elle ne pourrait plus approcher sa grande soeur, ce qui était surement mieux ainsi. Jolianne ne voulait plus voir personne, sauf Manon, mais la jeune fille ne se trouvait pas en Amérique mais en Europe. Jolianne avait laissé son carnet de note ouvert sur son lit, et si ses parents venaient, elle savait qu'ils liront ce qu'il y avait dedans. Jolianne s'en fichait de tout, de sortir, de manger, elle avait déjà pas mal maigrit depuis son retour. Mais d'un coté, si Jolianne était malade, elle ne devrait pas donner son rein... Si elle n'avait pas un poids minimum, elle ne pourrait surement pas donner. Donc d'un coté si elle devait perdre sa soeur quand elle serait guérie, vallait mieux la laisser mourrir en ne donnant rien. Une chose était certaine, c'était qu'elle ne voulait plus d'Elizabelle à ses cotés pour les tests, et la ponction. Manon lui manquait en ce moment, et même s'il était fort tard, et que Jolianne devait aller se coucher, elle ne voulait pas, elle voulait voir si sa meilleure amie était sur msn. Elle alluma son portable, écrit son mot de passe, se connecta sur internet, et regarda dans ses contacts, heureusement celle-ci était en ligne. Jolianne commença à écrire, ce qu'elle avait sur le coeur en ce moment, vu que Manon lui avait demandé comment ça allait. Elle tapait vite, car elle avait l'habitude d'écrire à l'ordinateur, vu que tous travaux pour l'école devait être fait par ordinateur. Jolianne entendit des pas venir près de sa porte, elle reconnu ceux de ses parents, la porte était fermée, mais à double tour, donc ses parents pourraient ouvrir. Jolianne avait sur ses oreilles ses écouteurs, elle ignorait donc totalement les coups que ses parents faisaient sur la porte. Contrairement à Elizabelle, les parents devaient toujours frappé avant d'entrer. Mais maintenant Elizabelle devra faire pareil. Jolianne se posa une question : que faisait sa soeur ici ? Elle doit normalement aller avec sa famille qu'elle aime plus que tout. Ses parents entrèrent dans sa chambre, et se rapprochèrent d'elle, elle retira les écouteurs, mais n'était pas du tout prête à entendre leur engueulade. Pas ce soir, jamais... Jolianne attendit que ses vieux parlent

Disons que la discutions n'était pas calme du tout , elle était vraiment très mouvementé. Ses parents étaient inquiet pour leur fille , voila pourquoi ils essayaient tous de la résonner même si cela ne marcha pas. Élizabelle était dans sa chambre et c'était fait réveiller par tout le vacarme qu'il y avait dans la chambre de sa petite soeur. Elle ne comprenait plus du tout pourquoi la jeune femme se braquais t'elle comme sa.

Élizabelle avait les larmes qui lui remontait au yeux et elle pleurait de nouveau en silence. Elle ne savait pas si elle pouvait rester ici . Car elle était vraiment inquiète pour sa petite soeur et elle savait bien qu'elle avait besoin d'un environnement ou il n'y avait pas de stess, car le stress était mauvais pour une personne qui était malade. Elle avait besoin de se vide le corps donc elle alluma sa petite lampe qu'il y avait sur la table de nuit et elle prit son cahier et un stylo et elle comma a écrire se qu'il lui passait pas la tête.

Elle ne savait pas du tout allait mener se qu'elle écrivait présentement , mais elle avait besoin de se vidé la tête pour pouvoir se rendormir. Car elle savait bien qu'elle avait besoin de dormir. Elle avait besoin parce qu'elle devait reprendre le dessus. Elle regarda sa montre il lui restait encore deux heure et demi avant qu'elle ne sonne pour la réveiller pour qu'elle termine son traitement.

Se qu'elle c'était m'y a écrire donnait quand elle le lisait quand elle manquait d'inspiration donnait au final...

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Jolianne se braquait pour le moment, ses parents essayait de lui parler mais elle ne leur répondait pas. Son papa était un peu fâché car elle avait fait pleurer sa princesse. Sa princesse ? Ca voulait tout dire... La princesse et le bébé. Celle qu'on peut laisser tout faire, et celle qu'on prend pour une conne. Jolianne en ce moment ignorait ce que faisait sa soeur, mais elle s'en fichait d'un coté. Jolianne vit alors sa maman trouver son carnet, elle le lit, tout en s'approchant de son mari. Elle tombait des nues, de lire ce qui c'était passé en France, pour qu'elle change ainsi. Azuria commença à lire les phrases qui la touchait le plus à son mari. Il était tout aussi désemparé. Mais elle lit la musique, enfin les musiques que les deux filles avaient écrit, Azuria lui posa une question sur la chanson : je t'aime... Elle voulait savoir qui l'avait écrite car elle adorait... Elle ne dirait surement plus ça, quand elle apprendrait que c'est elle. Elle demanda si c'était sa soeur, Jolianne fit non, et quand sa maman lui dit c'est toi ? Jolianne répondit d'un signe de tête. Puis elle vit : Tu es mon autre, et là elle comprit que c'était les deux jeunes filles. Elle trouvait ça magnifique. Elle voulait même qu'elles les chantent, Jolianne sortit de ses gonts et dit :

"C'est du n'importe quoi ?! Ca veut rien dire, que je l'ais écrite il y a quelques mois d'accord quand ma soeur me manquait et qu'elle m'aimait encore, et qu'on passait de bon moments comme quand on était petite. Mais maintenant ça vaut plus la peine. Je préfèrerais encore qu'on m'achève, qu'on me prélève un rein et de la moelle pour la sauver, comme ça Elizabelle ne m'aura plus dans ses pattes, et elle pourra pleinement s'occuper de sa petite personne et sa famille."

Jolianne parlait fort, surement pour que sa soeur l'entende, d'ailleurs son papa lui demanda de parler moins fort, ou du moins de se taire. Jolianne se braqua, elle retourna dans son lit, se positionna dans une position foetale, mais elle ne pleurait plus

Les parents des deux jeunes femmes ne sachant plus quoi faire partir. Élizabelle était réveiller et elle avait tout comprit se qu'avait dit sa petite soeur. Elle était vraiment tanné de l'entendre se plaindre du fait qu'elle ne la comprenait plus et que sa soeur ne semblait plus l'aimer , mais au contraire elle l'aimait et elle ne voulait pas du tout qu'il lui arrive quelque choses. S'il lui arrivait quelque choses ,elle ne pourrait surement pas réussir a vivre comme elle vivait présentement . Elle tenait vraiment a sa petite. La seule façon qu'elle avait réussit tout a l'heure a se rapproche de sa soeur ses de lui chanter la chansons Bambina qu'elle avait écrite pour elle. MAis elle ne comprenait plus dut tout pourquoi le message passait mieux par la chansons.

Donc elle se leva et elle alla frapper a la porte de sa soeur et elle entra . Elle se rapprocha de sa soeur et elle lui dit doucement.

« Eille, ma chérie , qu'est-ce qui se passe avec toi..»

Elle l'appelait toujours sa petite chérie quand elle parlait avec sa soeur. C'était leur façon de se reconnaitre. Mais elle savait que Jolianne reconnaissait son ton de voix. Élizabelle avait mit l'affiche que sa petite soeur avait fait dans sa chambre ici pour le moment , jusqu'à se qu'elle rentre a l'hôpital ou elle allait la mettre. Elle aimerait tant retourver sa petite soeur d'avant. Mais comment faire. Elle ne savait pas du tout comment donc elle lui dit.

« J'ai besoin que tu me dises comment t'aider , puisque je n'arrive plus a lire en toi comme avant.»

Elle avait vraiment besoin d'un signe de sa soeur. Elle se rapprocha de Jolianne et elle s'assoit doucement sur le lit de cette dernière. Elle se plaça de façon a se que sa soeur puisse la voir et elle déposa sa main sur celle de sa soeur.

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Les parents ne disaient rien, ce qui mettaient encore plus Jolianne dans un état de colère, d'incompréhension, aider leur petite princesse, ça s'était facile, mais l'aider elle ? Jolianne ignorait que sa soeur avait tout entendu, elle était toujours dans sa position foetale, et elle était dans son monde, sa mère avait lu ce qu'elle avait écrit, et son père aussi. Jolianne n'entendit pas marcher sa grande soeur vers sa porte, elle toqua, mais elle ne répondit pas, d'un coté, si c'était Elizabelle, elle pouvait encore rentrer comme d'habitude, du moins pour le moment, puis elle se rapprocha d'elle, elle entendit sa voix, pour Elizabelle c'était sa chérie. Elle lui demandait ce qu'il se passait avec elle. Jolianne souffla, elle ne voulait pas parler, elle voulait être seule, mais si elle était seule, elle risquait de partir, de prendre l'air. Jolianne ne répondait pas, il régnait dans la pièce un silence de mort, enfin de nouveau elle entendit sa soeur parler, elle avait besoin qu'elle lui dise comment l'aider, vu qu'elle n'arrivait plus à lire en elle comment. Mais c'était la même chose pour Jolianne. Celle-ci, ne dit rien du moins pour le moment, elle réfléchissait à ce qu'elle allait dire, ben oui car elle avait envie de lui dire de quitter tout le monde pour rester avec elle comme avant, qu'elle soit plus malade. Qu'elle arrête de changer. Jolianne vit encore qu'elle se rapprochait; bientôt elle ne pourrait plus reculer, elle s'assoit sur son lit, et se place de façon à ce que sa soeur puisse la voir, Jolianne sentit sa main sur la sienne, mais elle ne fit rien, elle ne l'enleva pas et ne la serra pas :

"Je veux que tu ne sois plus malade. Comme ça on referait ce qu'on faisait avant, les journées shopping, soirée dvd, voir parfois aller au cinéma. Bref passer du temps comme avant, par contre je veux pas qu'on me force à aller voir le psychologue. J'aimerai aussi que Manon revienne. Moi non plus j'arrive plus à lire en toi comme avant"

Car oui elle savait lire en Elizabelle, même si parfois, elle ne lui disait pas. Jolianne parlait mais en regardant le vide, son regard était si éteint. Enfait Jolianne voulait que se soit comme avant, des soirées ensembles, au cinéma, en ville, ou devant la télévision

Élizabelle regarda sa soeur et elle ne savait pas du tout quoi dire ,mais elle dit simplement sans trop y pensé elle répondit simplement par instinct.

« Nous pouvons peut-être plus faire de soirée au cinéma pour le moment , mais nous pouvons encore faire plein chose. Nous pouvons toujours regarder des DVD , nous pouvons encore écrire d'autres chansons comme nous l'avons fait encore. Nous pouvons faire plein de choses même si je suis malade, mais tu sai bientôt je serai guérie et nous pourrons recommencer a faire tout se que nous fesions ensemble. Tout comme toi c'est activité me manque , mais je garde confiance ,car je sai que nous allons pouvoir les refaire encore.»

Dit-elle avec le sourire. Elle disait tout sa avec un ton très doux , car elle savait qu'elle n'avait pas besoin de crier pour que sa soeur comprenne ce qu'elle venait de lui dire. Elle avait peut-être maintenant besoin d'un interprète entre eux , mais elle dit alors a sa petite soeur qui lui dit qu'elle non plus n'arrivait plus a lire en elle.

« Si nous n'arrivons pas , n'y toi , n'y moi a lire dans l'autre comme dans un livre nous pouvons recommencer notre relation sur de nouvelle base et apprendre de nouveau a se connaitre , peut-être que nous allons retrouver notre relation d'avant. Tu en pense quoi.»

Pour le moment elle croyait que c'était la meilleure idée de réapprendre a se connaitre et a reprendre leur relation sur de nouvelle base.

Messages : 260 Date d'inscription : 23/04/2011 Age : 28

Elizabelle regarda sa soeur, elle l'écouta certe, et répondit casiment tout de suite, elle ne pouvait peut être plus faire de soirée au cinéma pour le moment, mais elle pouvait faire pleins d'autre chose : écrire d'autres chansons, regarder des dvds. Selon elle, elle serait guérie mais il faudrait déjà voir si elle est compatible avec elle ou non. Ses activités lui manquait pourtant elle ne le montrait pas... Elle gardait confiance, elle savait qu'elles les referaient encore. Jolianne n'avait pas cet espoir là, cette confiance. Loin de là, elle était morte d'angoisse. Elizabelle souriait, elle parlait d'une voix douce, ce qui changeait de la voix des parents. Jolianne lui dit toujours sans la regarder :

"Oui bien sur mais dans pas longtemps, tout s'arrêtera vu que tu devras repartir. Puis tu iras avec David et tes belles filles. Donc toutes ses petites soirées là, disparaitront. Ecrire des chansons, je sais pas, j'en ai écrit que deux, et ici je suis déjà en manque d'inspiration. Comment peux tu dire ça ? Si ça se trouve je suis même pas compatible. Tout je ne pense pas, vu que tu privilégeras ta famille."

Jolianne écoutait les paroles de sa soeur, selon elle, elles pourraient recommencer leur relation sur de nouvelle base, réapprendre à se connaitre, et après ça retrouver peut être leur relation, c'était une chouette idée, certe, mais Jolianne ne savait pas comment, car elle ne pouvait pas tirer un trait sur la relation d'avant. Car la nouvelle serait surement moins bien que la première, Jolianne devra s'habituer à ne voir que sa soeur que peu de temps, et de ne pas avoir sa soeur près d'elle quand ça n'allait pas. Jolianne lui dit :

"C'est une bonne idée, mais comment la recommencer et apprendre de nouveau à nous connaitre ? J'ai aucune idée. Mais une chose est sur c'est que je peux pas tirer un trait sur le passé. De toute façon, je sais comment ça va se finir... Plus de temps avec ta famille, et moins avec moi"

Élizabelle avait expliquer plusieurs fois qu'elle ne l'abandonnerai jamais , elle ne savait pas du tout quoi dire a cela. Elle ne savait pas du tout pourquoi la jeune femme n'avait pas encore compris qu'elle serait toujours la pour sa sœur. Et cela même si elle ne vivait plus avec leur parent. Elle était partie vivre avec son cousin quand elle avait eux son nouveau job, car le loft de Connor était plus près de son travaille que la maisons familial. Donc elle lui dit simplement.

« Tu te souviens quand j'étais partie vivre avec Connor a cause du travaille ? Tu te souviens que nous nous voyons autant que si je serais ici a la maison. Cela sera pareille si je part vivre avec David. Tu pourra me rejoindre au téléphone quand tu veux et nous pourrons encore faire nos sortie quand tu le voudras.»

Elle ne comprenait plus du tout sa soeur. Car elle n'arrivait plus a lui faire comprendre se qu'elle lui disait. Jolianne semblait fermer a ses paroles. Donc si la jeune femme ne voulait pas l'écouter elle lui dirait qu'elle partirait et que si elle veux l'écouter et prendre en compte son point de vue qu'elle vienne le chercher elle même.

Messages : 260 Date d'inscription : 23/04/2011 Age : 28

Certe Elizabelle avait expliqué plusieurs fois à Jolianne qu'elle ne l'abandonnerait jamais, et Jolianne l'avait comprit mais elle avait peur, à cause de ce qu'elle avait vécu en France mais aussi elle se sentait incomprise. Elizabelle ne voyait donc pas qu'elle avait besoin d'elle plus que tout le monde ici ? Jolianne le lui dira, elle devait mettre les points sur les "i". Jolianne écouta les paroles de sa soeur, elle avait travaillé, et avait été chez son cousin, car c'était plus proche du travail que la maison familiale. Elles se voyaient toujours autant que quand elles étaient à la maison. Selon elle, se sera pareil avec David, Jolianne haussa les épaules, puis se mit en position assise face à sa soeur. Elle reprenait contact doucement ce qui était un bon point, surtout avec les propos qu'elle avait donné avant. Elle lui dit :

"Oui je me souviens de ça, mais là ce n'est pas la même chose. Tu seras chez toi avec ton compagnon et tes belles filles, Connor était célibataire et sans enfants. Je connais Connor et je l'aime, ce qui n'est pas le cas de ta famille. Je dérangerai surement ta famille avec mes coups de téléphonne, ce qui n'était pas le cas avec notre cousin. Je n'ai pas ma place, chez vous. En plus lors de l'histoire que tu me racontes, je n'étais pas dans cet état."

Jolianne ne savait pas comment abordé le sujet, ou elle se sentait pas comprise. Pourtant elle devait le faire, mais elle le ferait doucement. Jolianne la regarda dans les yeux et lui dit d'une même voix :

"Je vais te dire une chose qui va peut-être faire mal mais depuis que je suis là, j'ai l'impression d'être mal comprise. La rumeur m'a vraiment secoué, on voit bien que tu n'as jamais eu ça dans ta vie. Je n'ai plus confiance en moi, je n'avais pas tellement peur de me faire des amis mais maintenant c'était le cas. J'en bavais au lycée, c'est pour ça que je suis revenue ici. Et là qu'est ce que j'apprends ? Tu es malade, tu as une famille. Je t'ai toujours considéré comme la personne la plus importante de ma vie, encore plus que papa et maman. Mais je me suis trompé sur toute la ligne. J'avais besoin de toi et j'ai encore besoin de toi à mes cotés pour me redonner confiance, et me faire resourire de nouveau. Mais là encore une fois c'est parti en cacahuete. Je ne peux pas me fier à ma famille..."

Jolianne baissa la tête, elle ne savait pas comment Elizabelle allait réagir à ça, et ça lui faisait peur, mais elle restait sur ses gardes... Elle pouvait partir très vite, et sortir par la fenêtre qui était un peu ouverte

Élizabelle ne savait pas du tout quoi dire a sa soeur. Elle s'accôta contre le mur et elle fit signe a sa soeur de se rapprocher d'elle. Elle savait pas quoi dire , mais elle savait que se simple geste allait la calmé un peu.

Jolianne se blottit contre sa soeur et Élizabelle lui caressa doucement les cheveux de sa petite soeur.Elle ne savait pas du tout quoi dire. Elle se retrouvait devant un mure.Mais elle répondu par rapport au fait que personne ne l'aimait dans sa famille se qui était tout a fait faux.

« Pourquoi dis-tu que personne ne t'aime dans ma famille ? Au contraire tout le monde t'adore.»

Elle voulait réussir a comprendre se que sa soeur voulait lui dire , car elle n'arrivait pas a cerner tout le probleme, pour tout se qui est de l'aider a retrouver son estime de soi c'était quelque choses de compliquer.

« Je sai que pour toi sa été un gros choc d'apprendre que j'étais malade. Mais comme je ne suis pas a la maison je croyais qu'ils t'avaient mi au courant.Et pour ma famille tu étais au courant que j'étais amoureuse de David ...Tu devais te douter qu'un jour j'allais avoir un conjoint. A mon âge c'est tout a fait normal d'avoir un conjoint et des enfants. Tu voudrais que je t'aide comment , parce que je ne sai pas comment t'aider.»

Ce qu'elle voulait savoir ses pourquoi elle lui demandait de l'aider a retrouver confiance en elle cela devait être elle même qui pouvait réussir a la faire augmenter sa confiance en elle.

[hj:dsl pour la réponse un peu fade , mais je suis hyper fatiguer et je tenait quand même a te rep¸]

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Elizabelle ne savait pas quoi dire, Jolianne le sentait, puis elle vit sa soeur partir un peu, Jolianne fut un peu surprise car elle ne s'attendait pas à ça. Puis elle s'accota contre le mur et fit signe à sa soeur de se rapprocher d'elle. Certe elle ne savait pas quoi dire mais elle se doutait que ça allait calmer sa soeur. Jolianne arriva non pas à vitesse grand v... Elle était un peu méfiante, mais elle finit par se blottir contre sa soeur, et Elizabelle lui caressa doucement les cheveux. Jolianne regarda sa soeur, elle se demandait pourquoi elle disait que personne ne l'aimait dans sa famille. Alors que tout le monde l'adore. Jolianne ne répondit pas tout de suite, elle devait réfléchir à cette question. Puis elle dit...

"J'en sais rien, ils doivent m'en vouloir que tu restes avec nous et pas avec eux. Je le sens qu'ils m'aiment pas et puis Audrey c'est flagrand qu'elle me déteste, elle râle tout le temps en plus. Qui aimerait la soeur de la personne qu'on aime alors qu'elle a le même âge que les enfants ? "

Jolianne se sentait encore incomprise, était ce peut-être le fait qu'elle était fatiguée, Jolianne n'en savait rien, mais une chose c'était que sa soeur n'était pas d'une grande aide en ce moment. Elle savait que ça avait été un gros choc pour Jolianne qu'elle soit malade, mais vu qu'elle n'était pas à la maison, elle croyait qu'ils l'avaient mise au courant. Pour la famille elle savait qu'elle aimait David, oui bien sur, mais elle aurait préférée apprendre l'existence des deux filles plus tard. Elle se demandait comment elle pourrait l'aider ? Franchement Jolianne ne savait pas y répondre, mais elle sentait qu'il y avait qu'elle qui pouvait l'aider, en restant avec elle, et près d'elle. Sans parler de psychologue, de changement, de faire en gros ce qu'on faisait avant... Jolianne regarda Elizabelle... Et lui dit :

"Ils m'ont mit au courant le jour de mon retour, mais ça fait longtemps que tu es malade, alors ce que je comprends pas c'est qu'on me l'a dit que quelques mois avant. D'ailleurs je pardonnerai jamais maman et papa de me l'avoir caché longtemps. Oui je savais que tu aimais David, mais je savais pas qu'il avait deux filles de presque mon âge. J'aurai préféré ne jamais le savoir, et de ne les voir jamais. Car pour moi elles ont volée ma soeur. Tu peux pas savoir le vide que ça me fait de ne plus te voir tous les jours, à la maison... Et il sera encore plus grand parce que je saurais que tu seras avec ta famille. Je sais pas comment tu peux m'aider, mais je sens que tu es la seule personne qui peut le faire"

Les larmes s'étaient doucement remise à couler, elle avait vraiment du mal à mettre des mots sur son ressenti. Jolianne ne regardait pas sa soeur, non elle regardait le sol... Le fait que sa soeur parte, elle ne s'y ferait jamais. En plus quand elle était en France, et qu'elle faisait des cauchemars c'était souvent Elizabelle qu'elle appelait. Et là même si elle l'appelle, il y aura personne qui lui répondra, et qui viendra la consoler comme faisait sa soeur avant, quand elle était plus petite. Mais elle demandera une chose. C'est si elle pourra avoir sa chambre, elle gardera tout objet à elle dans sa propre chambre, mais elle aura besoin de sentir son odeur, et d'avoir quelque chose que sa soeur a porté pour avoir moins dur. Et si Elizabelle ne voulait pas. Elle le ferait quand même. Voir même autre chose, que surement elle ne voudrait pas que ça arrive.

Jolianne se blottit dans les bras de sa soeur. Élizabelle la pris dans ses bras et la serra contre elle et elle l'embrassa doucement sur le front puis la jeune femme lui dit qui aimerait la soeur de la personne que l'on aime si elle a le même âge que ses filles.Et bien David le faisait très bien , car il aimait bien Jolianne , il la prenait comme ca belle-soeur , même s'il savait qu'elle avait la même âge que la plus jeunes de ses filles. Élizabelle dit alors a sa soeur :

« Et bien pour David c'est une raison de plus pour t'aimer. Peu être qu'Audrey semble ne pas t'aimer pour le moment, mais laisse lui le temps de te connaitre et qui sai se qui se passera après.»

Dit-elle en gardant sa soeur toujours dans ses bras. Elle avait un aire d'une chanson que leur chantait leur mère quand elles étaient plus jeune. Son père lui avait chantonner se soir quand il était dans sa chambre. Elle l'avait entendu. Puis sa soeur lui parla de se qui c'était passé depuis son retour , Élizabelle l'écouta parler et lui donna quelque solution. Puis sa montre sonna c'était le temps qu'elle devait retourner dans sa chambre pour la deuxième partie de son traitement.

Elle se leva et elle prit la main de sa soeur et l'amena avec elle dans sa chambre pour qu'elles puissent continuer a parler. Puis elles put finir le reste de son traitement. Élizabelle avait du mal a rester éveiller il était vraiment tard et elle avait vraiment besoin de sommeille.

Les deux jeunes femmes discutèrent de tout et de rien puis elles finirent par s'endormir tout les deux. Élizabelle tenait sa soeur près d'elle dans ses bras. C'était comme quand elle était plus jeunes.

Leur parents qui n'entendaient plus rien vienne voir dans la chambre de l'aînée et ils virent leur deux filles endormit comme au bon vieux temps. Ils les regardèrent dormir un moment avant d'aller se coucher eux aussi.

» Dispute et Séparation pour quelque temps [Jolianne]
» Absence de Jolianne
» Accident [Pv. Jolianne]
» Un intru dans la maison [Jolianne]
» De nouveau malade [Jolianne]