Cata Cata Cata (Pv Elizabelle)

Messages : 260 Date d'inscription : 23/04/2011 Age : 28

Jolianne n'avait jamais aimé les médecins, les prises de sang, et les médicaments, mais depuis ce qu'il s'était passé, Jolianne en avait encore plus peur. Et elle voyait bien que sa soeur ne comprenait pas pourquoi Jolianne en avait peur.

Elizabelle la regarda, et essaya de la rassurer, pour que le médecin puisse l'examiner pour voir si tout était correct, Jolianne se débattit cherchant un contact avec Eli. Et elle le comprit. Elle avait peur qu'il la touche, qu'il lui fasse mal à sa jambe. Jolianne écouta quand même les paroles de la jeune et elle essaya un peu de se calmer

"Il va pas me faire mal hein ? Oui je me souviens, mais j'avais pas peur comme ça, j'avais pas eu un flingue avant sur la tête... Et on m'a pas forcer à regarder des personnes se faire tuer... Et..."

Jolianne parlait peu à peu de ce qu'elle avait vécu, il avait forcé Jolianne à regarder deux personnes se faire tuer, puis elle avait du le faire avec une arme sur la tempe. Jolianne tremblait maintenant, mais de savoir qu'elle resterait avec elle si elle en avait le besoin avec le médecin et le policier, la rassurait un peu plus. Jolianne attrapa la main de sa sœur et ne la lâcha, puis elle sentit des caresses dans son dos, et Jolianne commença doucement à pleurer contre sa sœur, tout en tremblant, quand le médecin s'approcha d'elle pour voir si tout allait bien.

Tout le monde avait été témoin de ses paroles, la maman du sortir, Jolianne n'avait pas remarquer les larmes, et son papa lui suivit dans le couloir pour parler avec sa femme

- Non il ne te fera pas de mal , ma chérie , il veut seulement voir si tout est correcte , il ne fera que regarder. Mais je suis près de toi quoi qu'il arrive je suis la.

Dit-elle en gardant toujours le sourire pour rassurer sa soeur. Elle eut les larmes au yeux quand sa soeur lui dit si franchement se qu'elle avait vécut. Elle ne lui avait jamais dit cela. Elle regarda le policier qui venait d'entré dans la chambre. Elle espèrait que le jeune homme allait tout faire pour qu'il ne s'approche plus jamais de sa soeur enfaite de personne.

Éli serait encore plus mère poule pour sa soeur , car elle n'était pas capable de croire se qui venait de se passé. Elle vit sa mère partie de la pièce puis Pierre la suivit. Elle regarda David et elle dit...

- Tu devrais amener Julie manger quelque chose a la cafétéria. Je vais rester ici avec Jolianne.

Elle savait très bien que David comprenait se qu'elle voulait dire. Elle regarda la jeune femme qui était sur les genoux de son père. Éli c'était redresser elle était maintenant assit dans le lit . Julie fit un câlin a sa belle mère et a sa tante, car oui Jolianne était sa tante même si elle était plus jeune qu'elle.

Il ne restait bien vite que Jolianne , Élizabelle et les deux hommes. Le médecin regarda la plaie de Jolianne sans lui faire mal. Puis il restait maintenant que les deux jeunes femmes et le policier. Élizabelle était la pour soutenir sa soeur.

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Jolianne entendit sa sœur dire qu'il regardera sans faire mal. Mais après il devra surement remettre un nouveau pansement, et ça allait surement faire mal, mais il le fit lorsque Jolianne parlait avec sa sœur donc elle ne sentit rien.

"Tu resteras tout le temps avec moi hein ? Je veux pas que tu me laisses. Même si on t'oblige à partir, tu resteras avec moi ? Sinon je ne dirai rien."

Jolianne remarqua que sa soeur, n'avait plus son sourire, et qu'il était remplacé par des larmes. C'était la première fois qu'elle disait si franchement ce qu'il se passait. Elle regarda le policier, qui lui dit qu'il ferait tout son possible pour qu'il ait en prison jusqu'à la fin de ses jours, et qu'il ne pourrait plus approcher ni Jolianne, ni d'autre personne. Jolianne lorsqu'elle vit le monsieur s'avancer, se blottit contre Elizabelle. Qui devenait de plus en plus mère poule avec elle, elle l'était déjà avant, mais ici elle l'était encore plus.

Les parents s'en allèrent, puis Elizabelle demanda à David de sortir avec sa fille, il savait pourquoi, mais Julie par contre pas. Après avoir fait un câlin à Elizabelle et à sa tante Jolianne, Julie partit avec son papa, et c'est là que David lui expliqua qu'elle voulait être seule avec sa soeur quand il y aurait l'interrogatoire...

Le médecin regarda la plaie, puis il resta dans un coin de la chambre, ça arrivait parfois lors de situations comme ça, que la victime fasse des crises d'angoisse, donc il restait près de la porte pour pouvoir agir s'il y avait quelque chose. Le policier prit place dans la chaise ou se trouvait David avant. Puis il commença à poser des questions. Jolianne regarda sa sœur, et commença son récit depuis le début, plus elle avançait et plus elle avait difficile, et plus elle regardait beaucoup moins l'homme... Mais elle se cachait dans les bras de sa sœur.

"J'étais entrain de regarder des affaires, des souvenirs quand le monsieur il est rentré, au départ, j'ai pas tellement comprit, puis j'ai vu l'arme. Il a voulu que tout le monde reste, mais il y a des gens qui ont réussit à s'enfuir... J'ai pas été assez rapide. Puis il nous a demandé de nous mettre ensemble, de nous serrer les un les autre. Puis quand il m'a reconnu, il... il m'a prit près de lui et m'a menacé avec le pistolet. Il a fait exprès de... me ... montrer à la fenêtre, au cas ou qu'Elizabelle soit là. Puis il... il a tué... 2 personnes... une femme... Et 1 homme... J'ai encore l'image de leur corps... Il nous a forcé à regarder... Une madame a bien voulu me protéger, en me faisant regarder autre part, mais il la menacer..."

Jolianne recommença à pleurer, elle n'arrivait plus à raconter... Elle pleurait à chaude larme dans les bras de sa sœur et elle tremblait... Des flash revenaient sans cesse dans sa tête...

Jolianne semblait avoir de plus en plus besoin de sa soeur au près d'elle donc elle prit sa soeur et elle la serra contre elle donc elle voulait lui montrer qu'elle était avec elle et qu'elle resterait peut importe se qui se passait. Mais elle savait que ces gestes n'était pas du tout assez pour sa soeur. Donc elle fini par lui dire, après que la jeune femme finisse de parler.

« Je resterai avec toi, quoi qu'il arrive. Je serait toujours la pour toi et sa tu le sai bien.»

Éli avait toujours été très proche de sa soeur et elle allait pour toujours être près de sa soeur quand elle avait besoin de quelque chose. Elle serait la pour la soutenir. Si Jolianne avait a aller au procès de l'homme elle serait bien sur , sur le banc derrière ceux des avocats pour que Jolianne puisse la voir , pour qu'elle puisse chercher dans son regard le soutient qu'elle avait de besoin.

elle regardait sa soeur pendant qu'elle parlait de se qu'elle avait vécu . Elle ne savait pas du tout quoi dire a sa soeur ou quoi faire. Elle avait les larmes qui lui montait au yeux. Elle ne s'attendait pas du tout a se que la jeune femme parle aussi franchement de se qu'elle avait vécu. Mais elle tenait toujours sa soeur dans ses bras. Et elle n'était pas du tout prête a la lâcher tout de suite. Car elle savait que sa soeur avait besoin de son soutient.

Puis sa soeur se mit a pleurer et elle n'arrivait plus a parler donc Éli lui dit finalement en lui caressant doucement le dos.

« Calme toi Jolianne , je suis la rien ne peut t'arriver.»

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Jolianne avait besoin de plus en plus de sa sœur, mais aussi de ses parents, et de David. Mais ici, elle pouvait compter que sur Elizabelle, vu que les autres étaient partit. Quand Elizabelle la prit dans ses bras, elle s'y blottit et y resterait pendant des heures. Jolianne remerciait du fond du cœur sa sœur, pourtant ses petits gestes ne faisaient pas grand effet. Mais elle n'en voulait pas à sa sœur au contraire. Jolianne se blottit encore plus contre Elizabelle, lorsqu'elle dit qu'elle resterait avec elle quoiqu'il arrive. De toute façon, Jolianne ne la lâcherait pas de sitôt. Puis elle sera là toujours pour elle, et ça elle le savait très bien.

Le policier comprenait Jolianne, et il savait que ça serait dur, mais il ne forcerait pas la jeune femme, et s'il fallait faire la suite de l'interrogatoire plus tard, il le ferait. Il ne voulait en aucun forcé la jeune adolescente. C'était aussi pour ça qu'on l'avait choisit lui. Il était tellement patient. Il savait aussi que Jolianne devra aller au procès pour témoigner, toutes les victimes devaient passer par là, même s'il sait que ça sera difficile, mais lui aussi sera là pour soutenir Jolianne. Puis elle devra aussi participer à la reconstitution, mais quand sa jambe ira mieux et que son état le lui permettra. Ce qu'il ne doutait pas c'est que sa soeur, serait là pour la soutenir. Et heureusement qu'elle était là, car il ne fallait pas abandonner Jolianne dans cette période, ça pourrait être dangereux.

Jolianne sentait le regard de sa sœur, pendant qu'elle parlait, pendant qu'elle disait franchement ce qu'il s'était passé, pourtant sa voix tremblait tout comme son corps entier, sa jambe lui faisant un peu mal. Jolianne n'entendait pas sa sœur parler et son silence, ne lui faisait pas tellement de bien, mais si Elizabelle avait été dans le même cas qu'elle, elle n'aurait pas su quoi dire non plus.

Elle ne put terminé le récit, qu'elle se mit à pleurer dans les bras de sa sœur, sa tête contre la poitrine d'Elizabelle, elle pleurait à grosse larmes, et elle ne s'en cachait pas. Le policier regarda Elizabelle, et caressa pendant un moment la tête de Jolianne, vu qu'Elizabelle lui caressait le dos. Il lui dit alors :

"Policier : C'est bien Jolianne, je suis fière de toi, tu sais quoi, j'ai encore certaines questions à te poser, et à poser à ta sœur, mais on le fera un autre jour d'accord. Comme ça tu pourras prendre le temps pour te préparer à répondre à toutes mes questions. Elizabelle, je vais vous laisser toutes les deux, et ne vous tracassez pas pour le moment il est sous les verrous et il ne sortira pas de sitôt, je vous le promets."

Jolianne pleurait tellement qu'elle n'entendit pas les paroles du jeune homme, mais elle l'entendit partir, le médecin arriva pour vérifier certaine chose et surement mettre un petit calmant dans l'intraveineuse de Jolianne qui n'arrêtait pas de pleurer dans les bras de sa grande sœur malgré ses paroles encouragentes. Elle lui dit :

"Je ne veux plus parler de ça, je veux oublier, je ne veux plus répondre aux questions. Je ne veux même pas en parler à maman et à papa. Je veux qu'on me laisse tranquille avec ça, s'il te plait ? Puis j'aime pas ici, je veux retourner à la maison, être avec toi et maman et papa."

« Calme toi ma chérie , je suis la , si tu ne veux plus répondre aux question ne réponds plus et pour se qui est de retourner a la maison , si ton médecin est d'accord nous retournerons a la maison pour être en famille.»

Elle voulait rassurer sa soeur qui avait l'aire si appeurer, même si elle avait les larmes au yeux et que les larmes lui roulait sur les joues. Elle ne pouvait pas entendre sa soeur lui parler aussi froidement de se qui se passait quand elle était prise en otage. Éli avait les mêmes émotions en plus emplifié du au hormones du a la grossesse que leur mère avait. Le médecin s'avanca vers Jolianne et il se plaça de façon a se qu'elle le voie. Elle ne savait pas du tout si la jeune femme l'écouterait , mais elle devait passé une nuit a l'hôpital et Élizabelle aussi , puisque la jeune femme avait donner pas mal de sang et que Jolianne avait eu une grosse intervention donc il lui dit.

« Médecin : Jolianne tu ne pourras pas sortir tout de suite , mais tu pourras demain matin , ta soeur restera avec toi cette nuit et toute ta famille si tu veux. Et j'ai reçu un appelle du docteur Philips il devrait passé tout a l'heure vous voir. Il est occuper pas mal aujourd'hui a la morgue.»

Éli se dit en elle même comme toujours.

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Jolianne pleurait encore dans les bras de sa grande sœur, elle n'en pouvait plus. Elle ne voulait plus revivre ce qu'elle avait vécu. S'il voulait un témoignage, il pouvait en avoir des autres victimes, sinon Jolianne pouvait bien le faire en dessin. Ça ferait beaucoup de dessin mais au moins, elle ne devra pas mettre des mots sur ce qu'elle a vécu. Jolianne écouta sa sœur parlé, elle voulait qu'elle se calme, et elle lui disait que si elle ne voulait plus répondre, qu'elle ne réponde plus, c'est ce que Jolianne ferait. Jolianne voulait retourné à la maison, elle voulait passé la nuit chez elle avec sa famille, et Connor aussi qu'elle n'avait plus vu depuis tellement longtemps.

"J'ai peur Elizabelle, et s'il y a une reconstitution et que je dois y être, tu viendras avec moi ? Je veux plus retourné toute seule sur les lieux. S'il te plait ? Avec toi et David aussi... Est ce que je pourrais dormir autre part que dans mon kot ? Je veux être plus près de toi, j'aurai peur toute seule en bas..."

Jolianne ne savait pas si sa sœur avait des chambres d'amis dans la maison, et si elle en avait, combien elle en possédait ? Jolianne ne voulait pas encore dormir seule dans son loft même si Julie était à coté. Tout le monde savait qu'elle serait sujet à des cauchemars pendant quelques temps, et Jolianne n'ira mieux que si elle se retrouve proche de sa grande sœur.

Jolianne remarqua qu'Elizabelle pleurait, surement du à l'émotion qu'elle ressentait depuis la prise d'otage, du récit qu'avait fait Jolianne il y a maintenant quelques minutes. Mais ce qui jouait le plus c'était les hormones due à la grossesse.

Avant que le médecin s'avance le policier s'en alla, il avait dit à Jolianne qu'il lui laissait du temps, mais que malheureusement il aurait d'autre question à lui posé, mais pour ça, Jolianne irait avec des dessins aussi, peut-être que ça aiderait pour la reconstitution, mais qui se fera dans quelques semaines. Il serra la main du médecin et partit donner les informations à son chef. Le médecin se plaça de façon à ce que Jolianne le voit, et elle le voyait, Jolianne savait que la réponse serait non, qu'elle ne pourrait pas retourner à la maison tout de suite, mais que ce n'était pas un problème que sa sœur reste et ses parents. Ainsi que David, par contre Julie, elle ne savait pas si elle dormirait ici ou non. Mais elle ne posa rien comme question, elle attendait la réponse du médecin. Jolianne baissa la tête pour la mettre contre la poitrine de sa sœur, et s'y cacher, elle le savait, elle passerait donc la nuit ici, mais demain elle pourra. Mais que tout le monde pouvait rester ici dans la famille. Puis il parla de Connor, il passera les voir tout à l'heure. Jolianne au moins aurait moins peur s'il demandait à voir la blessure. Quand le médecin parla de la morgue, Jolianne ne put s'empêcher de trembler, et de revoir en flash dans sa tête, les deux corps sans vie qu'elle avait été forcée de voir. Le médecin fit demi tour. Et s'en alla aussi. Jolianne qui pleurait toujours demanda à sa grande sœur :

"Tu sais si quelqu'un a pensé à prendre mon bloc de feuille et un crayon... Je dessinerai ce qu'il s'est passé, si ça peut aidé sans que je parle oralement... Puis si je n'arrive pas à dormir, je... je dessinerai pour toi..."

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