Cata Cata Cata (Pv Elizabelle)

Jolianne était à la maison aujourd'hui, elle était dans son loft, à faire encore des dessins pour l'école, mais elle remarqua qui lui manquait un matériel et qu'elle pourrait le trouver en haut. Mais elle ne savait pas qu'elle tomberait sur Audrey.

Avec Audrey c'était la guerre entre elle, contrairement à Julie avec qui elle s'entendait plutot bien. Jolianne n'avait pas parler des diverses disputes avec l'ainée des soeurs pour ne pas inquiéter sa soeur qui était enceinte.

Jolianne monta dans la maison, elle prit la direction de la cuisine, et prit ce dont elle avait besoin. Audrey malheureusement fut là, et une dispute éclata encore une fois heureusement Elizabelle était absente. Jolianne entendit une question de la part de la jeune femme :

"Audrey : Qu'est ce que tu fous là ? Il est interdit d'aller dans la maison de papa et d'Elizabelle en leur absence."

"Je viens chercher un truc, et déjà si c'est tellement interdit tu ne devrais pas être ici non plus. Et ma soeur m'a toujours dit que je pouvais venir chercher quelque chose si j'en avais besoin."

"Audrey : Moi je peux je suis la fille de David et la belle-fille d'Elizabelle alors je peux venir mais toi tu n'es rien alors fou le camp d'ici."

"Tu n'es déjà pas ma mère, je ne suis pas rien, je suis la soeur d'Elizabelle, et je ne partirai pas d'ici. Et si tu me faisait quelque chose tu aurais ma soeur sur le dos, et ça c'est pas rien."

Et ça continua ainsi jusqu'au moment ou Audrey alla trop loin, Jolianne partit dans son loft prit son sac et partit de la maison en claquant la porte. Elle prit la direction de son magasin préféré pour aller se calmer... Malheureusement c'était pas le jour à y aller, Jolianne et d'autre client sont tombé sur un malade qui les prit en otage... Les journaliste défilèrent, pour le faire passer aux infos. Mais quelqu'un avait reconnu la soeur d'Elizabelle... Donc on prévient à la télé et à la radio que Jolianne Philips, soeur d'Elizabelle Philips chanteuse, était la dedans.

Jolianne pria pour que sa soeur ne le voit pas ni l'entende pas, elle ne voulait pas qu'elle panique, elle avait peur pour Eli mais aussi le bébé

Jolianne était tétanisée, l'homme était armée, elle avait tellement peur, des larmes silencieuses coulaient sur ses joues elle n'avait que 15 ans. Jolianne n'osait pas bouger, elle cachait sa tête dans ses jambes, l'homme criait tellement fort.

Il l'a vit, Jolianne ravala sa salive, il lui donna un ordre, et Jolianne obéit, mais elle reçu quand même un cou, elle ne comprenait pas pourquoi ? Elle avait fait ce qu'il demandait. Jolianne voulait sa soeur en ce moment, elle avait besoin d'elle, elle priait intérieurement, mais elle savait que ça ne la sauverait pas. Ce qui la sauverait c'est les flics et surtout qu'elle fasse ce qu'il demande. Et encore ce n'est pas gagné.

Jolianne se retrouva à coté d'une femme, une maman dont le mari et l'enfant se trouvait derrière le périmètre de sécurité. L'homme tua deux personnes. Un client et un employé. Jolianne ferma les yeux et la maman la prit contre elle, mais ce fut de courte durée car il les força à les regarder, Jolianne n'aimait pas les morts et d'en voir un la tétanisait plus qu'autre chose.

Elizabelle vit la nouvelle à la télévision, David en entendant ça ne parla pas du tout à sa fille. Audrey semblait regarder la télévision avec attention. S'en voudrait elle pour la dispute ? David retourna près d'Elizabelle, pour la soutenir, elle en aurait besoin. David lui dit :

"David : Ma chérie assied toi. Viens... Ca va aller... Ta soeur va bien, la police est sur les lieux tout va aller pour le mieux"

Il finit par dire sa phrase que le journaliste prévient qu'il y avait eu deux coups de feu, et que la soeur d'Elizabelle était toujours la dedans sans nouvelle si elle était blessée, en vie, ou le pire... David prit dans ses bras Elizabelle

Jolianne savait que quand la police entrerait elle devra courir vite pour ne pas être blessée, mais avec le choc y arrivera t'elle ?

Jolianne ne savait pas ce que faisait sa soeur, elle ne savait même pas si les journalistes savaient qu'elle était là dedans, mais elle ne préférait pas. Et elle comptait sur Audrey, pour une fois, qu'elle se taise. Qu'elle ne parle pas de la dispute à Elizabelle. Pour l'endroit où elle se trouvait maintenant, Audrey ne savait pas.

Elizabelle posa la question à Audrey. Audrey ne voulait rien dire, vu qu'elle n'aimait pas du tout Jolianne. Mais Elizabelle eut vite la réponse. C'était la présentatrice qui informait la ville de la prise d'otage.

David vit alors sa femme se taire, quand on parlait de Jolianne, Elizabelle écoutait tout le temps, et encore plus lorsqu'elle était en danger. Elle était figé sur place et elle tremblait c'est pour ça que David la sortit très vite de cet état en lui parlant. Il la fit assoir, quand Audrey parla. Non seulement ça fit sortir Elizabelle de ses gonts mais aussi David. Il y aurait après une grosse discussion entre David et sa fille ainée. Elizabelle répliqua sur un ton assez colèrique...

"Audrey : Pour la fille de ton compagnon. Elle n'a pas sa place dans cette maison, ni dans son loft. Normalement c'est les enfants qui vivent avec leurs parents, ou beaux-parents, mais pas les frères et soeurs d'un des adultes."

Audrey descendit, elle en avait plus que marre qu'on reprenne pour Jolianne, en plus Jolianne n'avait pas prévu qu'il y aurait une crise d'otage, elle l'avait pas commandé non plus.

Elizabelle pleura, heureusement que Jolianne ne voyait pas ça, mais David était présent, il la prit dans ses bras et il lui parla. Il savait comment était sa fiancée, donc il savait qu'il devait l'écouter, si elle voulait aller sur les lieux du drame. David aida Elizabelle à sortir de la maison, et ils partirent dans la direction du magasin préféré de Jolianne. Mais ils savaient très bien qu'ils ne pourraient pas venir trop près.

Jolianne se forçait toujours à regarder les deux corps sans vie. Elle n'avait pas le choix, puis soudain surement avec le choc, elle commençait à voir sa soeur. Elle commença à paniquer, elle était dans un état second, elle voyait sa soeur morte. L'homme la fit revenir à la réalité, il la giffla pour qu'elle se taise. Puis il fit comme avec les autres personnes, il lui attacha les poignets et les mollets. Jolianne en avait très mal, mais elle ne disait plus rien. Il la prit et la mit près de la fenêtre avec le pistolet sur la tempe. Elle ne voyait pas sa soeur et heureusement.

L'homme narguait les policiers, s'il tentait de faire quelque chose, il presserait la détente, et Jolianne serait tuée sur le coup. Jolianne regardait les gens d'un regard suppléant, si elle devait mourrir c'était maintenant tant que sa soeur ne savait pas pour tout ça.

L'information était suivie non seulement par la télévision, mais aussi par la radio, donc David et Elizabelle pouvait suivre la suite des évènements dans la voiture. La présentatrice dit :

"Présentatrice : Nous pouvons apercevoir le teneur d'otage, on voit une arme dans sa main. Mais il est pas seul. Merde ! Il tient en otage la petite soeur de la star Elizabelle K. Philip... Il lui pose maintenant l'arme sur la tempe. Et il attend."

Jolianne se trouvait toujours face aux gens. Ca la rassurait de voir les policiers, mais d’un coté, il ne pouvait rien faire, donc ça lui faisait avoir très peur. La radio était allumée dans le magasin, et on entendait ce que les journalistes disaient. Donc le preneur d’otage comprit qui elle était, ça le fit sourire, Jolianne prit vraiment encore peur.

« Preneur d’otage : Donc comme ça tu es la sœur d’Elizabelle K. Philip, tu sais c’est ma chanteuse préférée, j’ai toujours été voir ses concerts mais elle n’a jamais voulu m’écouter quand je lui criais je t’aime… Elle va le payer cher maintenant… »

Jolianne était plus rassurée déjà sur le fait qu’il n’était pas au courant de la grossesse de sa sœur, il pourrait s’en prendre au bébé, en parlant de ça. Jolianne savait qu’il devait bouger beaucoup si sa sœur était au courant de cette situation.

Jolianne comprit que sa sœur savait, elle était toujours face à la vitre, et elle vit David et Elizabelle. Mais ça la rassurait qu’on avait donné à sa sœur une chaise, elle ferait beaucoup moins d’effort.

Les policiers comprirent grâce à un autre employé qu’ils pouvaient aller par les portes de secours par derrière, que par là l’homme ne les verrait surement pas. Mais c’était quand même risqué. La vie de Jolianne en dépendait ainsi que celle des autres personnes présentes. Les ambulances arrivèrent aussi.

Jolianne était blessée à cause des cordes et de l’homme mais ça allait encore. Mais ce n’était encore rien, et la prise d’otage ne faisait que commencer.

David remarqua alors que les parents d’Elizabelle venaient d’arriver, on les laissa passer. Les trois personnes soutenaient Elizabelle… Elle en avait besoin surtout avec sa grossesse

Jolianne qui se trouvait tout près de la fenêtre voyait sa soeur, elle remarqua aussi ses parents. Ils avaient tous l'air inquiet. Jolianne n'aimait pas ça du tout. Elle se sentait coupable de faire vivre ça à sa soeur maintenant avec le bébé. Jolianne repleurait en silence. Il ne fallait surtout pas que l'homme la voit.

La police réussit à rentrer en contact avec le preneur d'otage, mais il ne resta pas longtemps au téléphonne. Il fallait faire vite, ce coup de téléphone l'avait mit de mauvaise humeur. Pourtant il lâcha un instant Jolianne, et lui ordonna qu'elle se mette en arrière avec les autres otage. Jolianne écouta sans bronché.

Les policier prirent une tactique, les hommes qui étaient sur les toits, voyaient tout de la scène, donc il prévient qu'il avait lâché Jolianne. Ceux du sol, pourraient intervenir, en silence ils prirent la direction des portes de secours, et passèrent par derrière.

Jolianne vit alors le pistolet pointé de nouveau sur elle, le policier sur le toit prévient ceux du sol. Ils arrivaient, dans quelques secondes ils seraient là. Jolianne ne comprit pas ce qu'il se passa. Mais d'un coup, il y eut de la fumée. Les policiers tirèrent sur l'homme, mais l'homme réussit à tiré une balle... Une balle qui alla se loger dans la jambe de Jolianne. Celle ci cria de douleur. Par le choc, et la douleur elle tomba dans l'inconscience.

Les journalistes donnèrent l'information que les policiers avaient arrêter l'homme, mais qu'il y avait eu un autre coup de feu. Quelques minutes après les otages furent libérer. Jolianne avait reprit connaissance, elle perdait beaucoup de sang ce qui la faisait encore plus paniquée, on lui retira les cordes de ses poignet, elle se trouvait dans les bras d'un policier. Elle appelait et disait sans cesse et d'une voix basse et à bout de souffle :

"Elizabelle... bébé... Elizabelle... bébé..."

Le policier comprit ou il devait aller, après avoir fait un garrot à sa jambe, il la prit dans ses bras, et prit la direction d'Elizabelle, même s'il voyait déjà un ambulancier venir à eux avec un brancart, ils feront ça tout près de la famille.

Jolianne voyait comme double, elle ne savait pas où elle se trouvait, elle ne connaissait même pas l'homme qui la portait pourtant Jolianne se serrait à lui, comme si elle savait qu'elle pouvait lui faire confiance. Elle sentit l'air frais de la rue ce qui la fit revenir un peu à elle.

Jolianne espérait qu'Elizabelle serait examinée elle aussi, elle ne voulait pas qu'il lui arrive quelque chose par sa faute. Jolianne remarqua enfin la présence de sa soeur, elle aurait été dans ses bras si elle n'avait pas été enceinte, mais elle l'était. David proposa au policier de la prendre comme ça il pourrait retourner sur le terrain. Ce qu'il accepta. Jolianne ne broncha pas pourtant elle se souvenait encore très bien de la dispute avec Audrey.

Jolianne vit alors Elizabelle s'approchée ainsi que ses parents, elle posait sa tête dans le cou de David, si Audrey voyait ça, elle la tuerait c'est sur. Elizabelle souriait mais Jolianne voyait bien qu'elle avait pleurer. Elle avait tellement mal à sa jambe. On la déposa sur le brancart, pendant que sa soeur lui parlait et la rassurait. Puis ensembles elles chantèrent la chanson Bambina ensemble.

Les infirmiers placèrent des électrodes sur le corps de Jolianne pour son rythme cardiaque, ils enlevèrent le garrot et fit un pansement compressif. Jolianne cria à ce simple contact, elle avait tellement mal. Elle prit doucement la main de sa soeur et la serra de toutes ses forces. Elle avait maintenant le masque à oxygène. Jolianne dit à sa soeur :

"Pardon... désolée... bébé va bien... ?..."

Jolianne monta dans l'ambulance, les parents allèrent en voiture tout comme David. L'infirmière demanda à Elizabelle :

"Infirmière : Vous venez avec elle Elizabelle ?"

Jolianne dit d'une voix faible :

"S'il te plait ?"

Elizabelle avait été suivie par les ambulanciers, on lui avait prit la tension, mais heureusement elle était bonne. C'est pour ça qu'elle pu aller près de Jolianne.

Jolianne savait bien que sa soeur avait très peur pour elle, mais Jolianne avait beaucoup plus peur pour Elizabelle que pour elle. Donc elle fut beaucoup rassurée d'entendre sa soeur lui dire qu'il allait bien. Jolianne voulait voir d'elle même, elle voulait tendre la main vers le ventre d'Elizabelle, mais elle avait difficile, c'était comme si ses forces l'abandonnaient alors elle dit à Elizabelle...

"Je peux...donn...er caresse... au... bébé..."

Elizabelle sourit pour la rassurer, Jolianne lui en refit un petit. Jolianne ferma les yeux quand elle lui caressa la joue, elle aurait surement des beaux coups bleus demain car il l'avait gifflé.

Jolianne fut encore plus rassurée quand Elizabelle lui dit qu'elle monterait avec elles. L'infirmières l'aida à monter dans l'ambulance, et elle prit place près de Jolianne. Jolianne tenait la main d'Elizabelle de ses petites forces. Jolianne réussit à dire à sa soeur d'une même voix :

"Audrey... ne va pas être... contente... de me... savoir... vivante..."

Jolianne savait que sa sœur ne voulait pas qu’elle s’inquiète. Ni pour elle, ni pour le bébé, donc quand elle lui demanda pour caresser le bébé, elle se leva afin de l’aider. Jolianne déposa doucement sa main dessus, et elle sentit un petit coup de la part du bébé. Jolianne sentit quelques minutes après la main de sa sœur sur la sienne. Jolianne regarda sa grande sœur et lui sourit. Jolianne se calma un peu.

Jolianne était dans l’ambulance, et pendant le court instant où Elizabelle avait lâché sa main, Jolianne paniqua un peu. Elle ne voulait pas rester seule avec l’infirmier. Jolianne sourit quand elle vit s’assoir sa sœur près d’elle. Jolianne avait peur d’Audrey, donc elle lui dit et Elizabelle la rassura. Elle ne voulait pas qu’elle s’inquiète pour ça. David en parlera avec elle à leur retour. Mais pour le moment elle devait se reposer et ne se préoccuper de rien. Elle la regardait et lui caressait doucement la main et lui embrasse tendrement. Jolianne lui dit :

« J’ai ma place à la maison hein… Car elle a dit que ce n’était pas le cas. Que seule Julie et elles avaient le droit d’être là… J’ai … peur… j’ai peur… »

Jolianne avait peur de plusieurs choses. D’Audrey c’était sur mais aussi de mourir, de perdre sa sœur. Elle avait aussi peur que sa sœur perte l’enfant qu’elle porte. Mais Jolianne se tut, car sa sœur lui disait de ne se préoccuper de rien et de se reposer. Mais Jolianne vu la perte de sang, préférait parler avec sa sœur que de se taire et de perdre conscience comme toute à l’heure. Jolianne savait qu’elle devrait se faire opérée, pour enlever la balle, mais aussi lui redonner du sang. L’ambulancier demanda :

« C’est quoi son groupe sanguin ? »

Jolianne ne lâchait pas la main de sa soeur, elle avait besoin de ce contact avec elle... Par contre elle pensa qu'elle n'avait pas son chien, son doudou offert par Elizabelle quand elle était petite. Jolianne ferma les yeux quand sa soeur lui dit qu'elle avait sa place à la maison autant que tout le monde, que c'était aussi chez elle et qu'elle n'avait rien à dire là dessus.

"Tu lui diras... pour moi... hein ?"

Elle ne voulait plus parler à Audrey, elle ne voulait plus la voir. C'était de sa faute si Jolianne avait été là en ce moment. S'il n'y avait pas eu la dispute, elle n'aurait pas été otage, et elle ne serait pas blessée. Jolianne ouvrit les yeux. Elle vit son petit clin d'oeil et elle sourit. Jolianne se calmait peu à peu lorsque sa soeur lui donna des caresses, et ses paroles la rassurait un peu... Jolianne ne répondit pas. Elle écoutait la voix de sa soeur, et elle comprit qu'elle était inquiète.

L'infirmière savait que sa soeur avait le même groupe sanguin que sa soeur, et elle avait fait les tests lors de la maladie d'Elizabelle. La secouriste aimait bien Elizabelle comme chanteuse, elle avait lu que c'était sa soeur qui l'avait sauvé. L'infirmière lui dit d'une voix douce :

"Infirmière : D'accord. Ne vous inquiéter pas Elizabelle, elle va s'en sortir elle est forte. Et je sais tout ça... Je préviendrai le médecin que vous êtes d'accord pour un don de sang."

Jolianne s'endormait, ce qui pouvait être mauvais signe, Jolianne commençait à avoir froid, Elizabelle pourrait surement le sentir, mais la secouriste le vit, quelques constantes chutèrent, elle mit une couverture, et mit plus de soluté dans son intraveineuse. Il fallait faire vite. A son avis, sa soeur sera la donneuse. Jolianne s'endormait mais elle entendait sa soeur fredonnait. Ca calmait Jolianne, elle lui dit :

"Je t'aime... Tu pourras me chanter des chansons après... après l'opération..."

Jolianne fut soulagée lorsque sa soeur lui dit qu'elle voulait lui parler si c'est ce qu'elle voulait. Jolianne la regarda et lui dit d'une voix un peu faible :

"Oui...c'est...ce...que...je veux... Merci Eli..."

En ce moment, Jolianne savait qu'elle disait ça car elle ne voulait pas qu'elle s'inquiète encore plus. Jolianne était stressée, elle avait eu peur, et elle avait encore peur en ce moment. Elle ne savait pas ce qui allait se passer après. Jolianne haissait au plus haut point Audrey et ça ne s'arrangerait pas.

Jolianne savait que sa soeur voulait la soutenir, et elle le sentait tellement. Elle était déjà plus rassurée qu'au début. Bientôt il arriverait à l'hôpital. D'ailleurs le chauffeur appela l'hôpital :

"Ambulancier : Nous vous ammenons une adolescente de 15 ans, blessure par balle à la jambe droite, consciente, perte importante de sang, de groupe A-. Soeur compatible au niveau transfusion."

Puis Elizabelle qui voyait l'ambulanciere faire quelque chose au niveau des solutés de sa soeur, et de ses constantes, posa une question, la jeune femme lui répondit :

"Infirmière : Oui, c'est à cause de la perte de sang, mais quand elle aura eu la transfusion elle ira beaucoup mieux"

Jolianne essayait de garder les yeux ouverts, elle sourit quand sa soeur lui dit qu'elle lui chanterai toutes les chansons qu'elle voulait. Et elle aussi elle l'aimait. Jolianne la regarda et lui dit aussi...

"Tu me chanteras Bambina à mon réveil s'il te plait ? J'essayerai ... de chanter... avec toi... mais pas sure... que j'y arrive... Je l'aime... aussi..."

Dit elle en parlant du bébé, elle ne savait pas que le bébé donnait encore des coups. Puis elle dit à sa soeur :

"Tu pourras...dire... à papa et maman... que je les aime..."

Élizabelle ne voulait pas que sa soeur S'inquiète pour quoi que se soi donc quand elle lui dit qu'elle parlerait a Audrey elle était sincèrent quand elle le disait .Elle ne voulait que rien arrive a sa soeur. Elle ne savait pas du tout quoi dire de plus que cela. Elle regarda sa soeur et a cause des hormones du a la grossesse une larmes roula sur sa joue. Elle ne voulait pas que la jeune femme le remarque donc elle l'essuya rapidement. Car elle voulait que la jeune femme ne voit rien. Elle était heureuse pour le moment que la jeune femme ne soit atteint que seulement au niveau de la jambe si elle avait eu une balle ailleure elle aurait put mourire et si sa soeur était morte sa Élizabelle ne le supporterait pas. Elle n'aurait plus le gout a la vie sa soeur était tout pour elle. Et comme l'ambulancière semblait l'aimé et la connaitre et qu'elle aimait beaucoup le travail que la jeune femme faisait avec sa soeur . Élizabelle prendrait son nom en note et elle lui enverai quelque chose. Un petit quelque chose qui voulait peut-être tout dire pour la jeune femme , mais qui était si simple a offrir pour elle. Un petit mots pour la remercier et une petite dédicace.

Elle regardait la jeune femme faire son travail tout en gardant sa main dans celle de Jolianne. Elle pensait pourquoi a elle pas a moi. Jolianne pouvait lire en elle comme dans un livre ouvert donc elle savait qu'elle était préocuper. Elle ne comprenait plus pourquoi Audrey avait presque mit sa soeur a la porte. Alors que c'est Jolianne qui autorité sur elle. Jolianne avait toujours le droit de monter en haut si elle le voulait même si Élizabelle n'était pas la. Elle lui avait donner la permission. En plus Jolianne s'occupait de la décoration de la chambre du bébé avec Éli et David donc si elle avait besoin d'aller prendre des mesures dans la chambre du bébé pour pouvoir faire ses croquis elle peux.

Donc Audrey serait doublement dans le trouble ,car son père et Élizabelle devait lui parler et Éli ne les chicanait pas souvent ,mais quand elle se mettait de la partie ce n'était pas souvent beau. Élizabelle était le genre de personne a accumuler les choses , mais quand il fallait que sa sorte et bien cela sortait et Jolianne était pareille. Élizabelle regardait sa soeur qui lui demanda si elle allait pouvoir chanté Bambina donc elle lui dit.. .

« Je pourrai te la chanté si tu veux , je pourrai chanté toute les chansons que tu veux. Tu aimerais que je te la chante tout de suite. »

Quand sa soeur lui dit qu'elle l'aimait elle aussi . Elle prit la main deJolianne et elle la mit sur son ventre. Le petit donna quelque coups pour se manifester un peu. A chaque fois que quelqu'un mettait sa main sur le ventre d'Élizabelle le bébé se manifestait de facon différente. Avec Jolianne c'était trois petit coup. Avec son papa c'était un coup de pied et un coup de poing. Elle regarda la jeune ambulancière et lui sourit. La jeune femme avait peur de lui demander si elle pouvait le sentir bouger. Donc Élizabelle la devanca. En lui disant.

« Vous voulez le sentir bouger ?
- Infirmière : si cela ne vous dérange pas.
- Non donner moi votre main.»

L'ambulancière passa sa main a la jeune femme . qui était vraiment heureuse de pouvoir sentir le bébé de son idole bouger. En plus elle était dans son ambulance quoi demander de plus.

Jolianne lui demanda si elle pouvait dire au parents qu'elle les aime. Elle lui dit.

« Je vais leur dire tout a l'heure. mais tu pourras leur dire toi même a ton réveille.»

Jolianne en ce moment comprenait que sa sœur ne voulait pas qu’elle s’inquiète pour quoique ce soit. Jolianne savait qu’Elizabelle parlerait avec David mais aussi avec Audrey. Mais Jolianne avait tellement peur que l’adolescente lui fasse du mal. Elle ne voulait pas que sa sœur ait quelque chose de grave. Sa sœur et le bébé.

Jolianne qui commençait légèrement à être dans le gaz, ne vit pas sa sœur pleurer, mais elle pouvait sentir que sa sœur était préoccupée, mais elle ne savait pas par quoi. Jolianne vit sa sœur essuyer sa larme qui roulait sur sa joue.

Jolianne donnait de petite caresse avec ses doigts sur la main de sa sœur. Elle avait besoin de faire ça pour rassurer sa sœur, mais aussi se rassurer. Jolianne ne savait pas pourquoi Audrey la détestait autant. Julie non plus, comment le savait-elle ? Car elles en avaient un peu parler un jour, après une dispute dans les caves de la maison. Jolianne avait le droit de monter dans la maison de sa sœur, pour sortir de chez elle, mais aussi pour aller chercher des choses qui lui manquait, voir prendre des mesures pour la chambre du bébé.

Jolianne savait comment était sa sœur, vu qu’elle-même était pareille. Jolianne ne se mettait pas souvent en colère, mais quand sa explosait, ça faisait mal. Et c’est ce qu’il se passerait surement ce jour là, mais elle voulait que sa sœur se calme, elle ne voulait pas qu’elle perde le bébé. Sinon Jolianne la tiendrait pour responsable. Jolianne regardait sa sœur, mais elle fermait de plus en plus les yeux. Elle écouta sa sœur parler, et sourit. Contente d’apprendre ça.

« Oh oui je veux bien que tu me la chante tout de suite. »

Dit elle d’une voix faible et entrecoupée, Elizabelle prit sa main et la redéposa sur son ventre. Jolianne sentit un coup et sourit, le petit reconnaissait les personnes, car il se manifestait de différentes manières avec Eli, David, Jolianne et ses grands parents. Jolianne ferma les yeux, et s’endormit un moment, elle n’entendit même pas ce qu’elles se disaient.

Jolianne se sentait partir, il était temps qu’elle arrive à l’hôpital, elle entendit que ce serait elle qui leur dirait, mais qu’elle pourra le dire aussi à son réveil. Jolianne lui dit :

« Si je me réveille… »

Jolianne sentait que sa soeur était triste, mais elle ne voulait pas, c'était pas son but, si seulement elle avait su qu'il y aurait cette prise d'otage jamais elle aurait été dans ce magasin. Jolianne était gravement touché, même si la balle n'avait pas touché une artère. Jolianne avait mal, elle avait froid, elle se sentait fatiguée... Elle se sentait peut-être mourrir, mais elle se batterait pour sa soeur. Elle n'avait pas le droit de mourrir alors qu'elle, elle avait survécu à une leucémie et à un problème de reins. Jolianne commença à pleurer, non seulement car elle avait mal, mais elle avait aussi peur et elle se sentait coupable. Sa soeur vit ses larmes et lui essuya.

Elizabelle savait qu'ils approchaient de l'hôpital mais pour le moment elle était occupé à lui chanter Bambina. Sa soeur l'intérompu quelques secondes et lui demanda :

"Tu peux chant...er "Un...ave... maria... s'il te plait ?"

Jolianne savait qu'elle serait séparée de sa soeur, et elle ne voulait pas, mais Jolianne savait qu'elle ne pourrait pas venir à cause du bébé. Mais peut être qu'elle aura l'autorisation si elle était donneuse de sang pour sa soeur. Ce qui serait fort probable.

La porte s'ouvrit, Jolianne comprit qu'elle était à l'hôpital, elle tenait encore un peu la main d'Elizabelle mais bon ses forces l'abandonnait peu à peu, Elizabelle sortit de l'ambulance, et suivit le brancart. Elizabelle répondit à ce que Jolianne disait... Elle était sure de ce réveiller. Par contre elle n'avait pas Kate son chien en peluche porte bonheur. Jolianne dans un dernier moment de conscience dit :

"Kate... chien... toi... donné... pas... ici... avec... moi"

Elle voulait dire que Kate son chien qu'elle lui avait donné n'était pas ici avec elle, donc ça lui fera assez peur sans son doudou porte bonheur. Un médecin demanda à Elizabelle :

"Médecin : Vous êtes toujours d'accord de faire un don de sang pour votre soeur ?"

Elizabelle chantait, et Jolianne se doutait qu'elle lui chanterait les chansons qu'elle voulait qu'elle lui chante. Donc si elle voulait "Un ave maria", "Bambina", "Je t'aime", et "Tu es mon autre" elle le lui chanterait. Jolianne écouta sa soeur et lui dit :

"Merci... après...Bambina..."

Jolianne pleurait,elle voulait son doudou porte bonheur, elle avait 15 ans, mais ça son nounours elle ne s'en séparera jamais. C'était un cadeau de sa soeur. La peluche avait 15 ans, mais il était en assez bon état. Jolianne ne savait pas qu'Elizabelle y avait pensé. Mais elle entendit quand même sa soeur lui dire qu'elle y avait pensé car elle savait qu'elle la demanderai. Jolianne lui sourit faiblement, elle lui prit des mains doucement.

Jolianne savait qu'elle allait devoir être séparée mais ce qu'elle ne savait pas c'est que le médecin habillerait Elizabelle afin de préléver du sang dans le bloc opératoire même. Il préparera le champ opératoire et Elizabelle pourra rester tout près de sa soeur. Et la rassurée. Pourtant Jolianne sentit un bisou sur son frond, et elle lui caressa la joue.

Un médecin demanda à Elizabelle si elle voulait toujours donner du sang à sa soeur. Ce qu'elle accepta. Le médecin resta avec elle et lui dit :

"Médecin : Vous allez aller avec moi, vous aller aller chercher aussi à manger et à boire, une boisson sucrée, pendant ce temps là j'irai vous chercher une tenue stérile et un masque. Vous viendrez dans le bloc opératoire, c'est là qu'on prendra le sang. Vous serez près de la tête de votre soeur. mais vous ne verriez rien ne vous inquiétez pas."