- Kidnaping de clefs, une rencontre... [Becky]

« Long long long long long long long… ennuyant en plus !… »
Quelques mots pouvant résumer assez simplement les pensées de la femme toujours couché sous ses draps blanc dans son lit d’hôpital. De plus, ici à Seattle, Rebecca n’avait pas vraiment de personne pour lui rendre visite puisqu’elle avait laissé toute sa famille en Grande-Bretagne. Eux, vivaient toujours sur la ferme familliale, Becky, elle, était partie pour une grande carrière militaire et vivre sa par du « American Dream ». Ce qui avait plutôt bien fonctionné jusqu’à ce qu’elle attrape cette maladie mortel qui fut nommer par des scientifiques le « Cancer ».

Le cancer. Un mot pour signifier une des plus grandes terreurs du monde. Aucun traitement ne peu le tuer lorsque la tumeur est trop grande. Par chance, Becky n’avait pas un des cancers les plus dévastateurs, la tumeur ce développent lentement. De plus, normalement, suite aux opérations elle pouvait partir le lendemain chez elle puisqu’elle était toujours assez en forme. Or, cette fois-ci une chute lui ayant fracturé des côtes l’avait obligé à rester plus longtemps dans cet endroit froid ou la douleur et la mort règne. Donc, depuis maintenant deux jours, elle était prise sous ce drap mince et peu protecteur des vents nocturne. Par chance, les fenêtres restaient fermer.

Extirpant soudainement la blonde au teint malade de ses pensés, un homme fit son entrer dans la chambre. Sortant de ses plus lointaine pensé, la dame puis remarquer que les lumières commençait à s’éteindre… Alors c’est qu’il devait être tard ! Mais bon, elle était habituée de veiller. L’homme qui venant d’entrer avait l’air épuiser, il était appuyé contre la porte et fixant le sol, la tête entre les mains… surement décourager ou triste de quelque chose. Puis remarquant ou il était désormais, l’homme entrez en trompe murmura un petit « désoler ». Dans la lumière tamisée on pouvait remarquer sa longue chevelure, des lunettes et une peau foncé. Puis après s’être excuser, il semblait sur le point de partir bien que hésitant. Becky souhaitant de la compagnie lui lança donc…

- Pas besoin de vous excusez, n’est-ce dons pas le rêve de tous les femmes de voir un bel homme débarquer ainsi en trompe dans sa chambre ?

Avait dit d’un ton blagueur la blonde. Cela de sa voix qui ne trompais jamais personne sur ses origines britannique. Un accent bien fort et présent à chaque mot. Une voie calme et douce Elle avait besoin de se changer les idées et parler avec quelqu’un, même un parfait inconnue, l’aiderais surement a y parvenir. De plus, la solitude commençait vraiment à la peser. Ne sachant pas vraiment si l’homme avait compris son humeur cependant, elle ajouta.

- Vous pouvez rester si vous le souhaitez.

Après lui avoir lancé ouvertement une blague discutable, la blonde s’empressa de dire à l’homme inconnu et peu voyant dans cette luminosité réduite, qu’il pouvait rester si cela lui plaisait. Chose qui lui plairaient en elle, si pour lui ce n’était pas le cas. Il fallait avouer que deux jours seul dans une chambre a rester coucher simplement à cause d’une chute qui avait fracturé une ou deux côté. Ce n’était rien ! Des militaires de son groupe avait déjà eu pire et n’avais jamais quitté le terrain pour autant. L’ennui était donc la signification de cette longue attente. Son sauveur de la lassitude extrême pourrais donc être ce jeune homme. À sa blague, l’inconnu lui répondit : « Peut-être, mais j’en connais. Cela est votre rêve ? » La blonde répondit en riant;

« Après des années dans l’armée, il faut bien plus que cela pour m’émoustiller malheureusement pour vous. »

Ce qui n’était pas faux, Becky était une femme très difficile a charmé. Après avoir dit cela, elle ouvrit la lampe de table à côté de sa tête afin de ne plus savoir a qu’elle genre de personne elle parlait. La lumière fut et elle vue. Un homme de la trentaine juste. Surement plus jeune qu’elle avec sa quarantaine approchant. Il avait une carrure impressionnante pour un médecin tout cela en étant d’une maigreur. D’une grandeur normale pour un homme. Une peau matte, ce qui contrastait avec la sienne blanche comme ses draps. Des lunettes noires qui cachaient un regard brun noisette. Des vêtements décontractés mais propre toute noir et un poignet au milles bracelet. Au même moment ou elle avait ouvert les lumières, l’homme avait levé les mains pour ajouter ; « Je ne voudrais pas vous déranger, plus que je ne l’ais déjà fait… » Elle rie devant cette mimique. Comme cela fessait du bien de rire ! Elle lui répondit d’un ton désormais joyeux et rieur ;

« Mais voyons mon cher, les infirmières qui viennent pour poser des questions me dérange. Mais quelqu’un avec qui parler de d’autre chose que de mes malheurs, comment cela pourrais me déranger ! C’est moi qui invite. Il me reste même de cette merveilleuse salade de fruit servit au patient. »

Elle lui montra les trois petits plats hermétiques avec ce jus trop sucré, ses fruits trop chimique et passé datent… Certes, personne ne serais resté a une invitation à manger des salades de fruits. Mais l’invitation venait de bon cœur après tous.

La réaction du nouvel arrivé dans sa chambre a la blague qu’elle avait dit plutôt, fit bien rire Becky. Cet homme avait autant de « tac » qu’elle pour répondre rapidement par de commentaire aussi comique, et même plus que celui lancer précédemment. Manifestement s’il voulait bien rester, le temps passerait bien plus vite, avant qu’elle ne puisse sortir, le lendemain. La blonde aux airs faible, car même si elle restait forte et feignait la non-maladie, elle se trouvait avoir tous de même une tumeur au poumon, avait ouvert sa lampe de chevet afin de rendre a cette conversation des visages. Il devenait donc bien plus agréable de discuter avec cet homme, plutôt qu’avec cette ombre précédente. Elle parla ensuite des infirmières et du fait que le dernier arriver dans sa chambre ne la dérangeais point. Sans oublier qu’elle lui offrit un repas digne de ce nom. Il lui répondit : « je vous comprends, elles en sont souvent dérangeantes. Je ne risque de ne pas trop posé de questions sur votre état, puisque je pourrais deviner qu’en lisant les étiquettes sur vos traitements… »

Il désigna du coin de l’œil les papiers. En effet, il y avait des renseignements, mais pas ceux que les infirmières venait chercher qui était pour but de savoir son état au moment même ou elles venaient. Mais, il était certains que de ne pas se faire questionner sur la question aiderais beaucoup à son humeur et au moral aussi. Puis, l’homme a la peau matte sentie le besoin de se présenter semblerait-il car il ajouta la phrase, face au silence de Becky « Dr.Connor Philips, pour vous servir, mademoiselle? » En restant ici avec elle, il ne pourrait voir son nom car celui-ci n’était pas sur les feuilles laisser par les infirmières dans la salle. Il devrait aller chercher le dossier, ce qui pourrait être long et surtout peu possible à cette heure tardive alors que aucune opération n’attendais la blondie. Alors pour répondre elle lui dit simplement ;

« Alors je pourrais abuser du service et vous biper tous les deux minutes, si c’est vous qui proposer. Pour ce qui es de mon nom, je ne le donnerai pas avant de vous faire assez confiance. Je crois bien que pour cela, vous allez devoir passer la nuit ici mon cher. »

Toujours souriante de la situation amusante, bien que surement agaçante pour l’homme charmant qui ce trouvait devant elle.

Connor. Voilà le prénom que l'on pouvait attribuer a cette homme arriver ainsi en trompe dans la chambre de la pauvre malade, qui malgré sa situation gardait le sourire et l'envie de vivre. Pour sa part, aimant faire poiroté le monde et les taquiner, Becky avait refuser de lui donner en retour son propre prénom. Chose a laquelle il avait trouver pour réponse les quelques mots qui suivent ; " -Mais vous ignorer mon service… Je finirais bien par connaitre votre nom, je ne chercherais pas a le trouvé quelque pars… Passé la nuit ici? Cela ne me dérange pas… " Pour ce qui était de son service, elle s'en foutais un peu. Si elle ne l'avais jamais vue, ils ne savaient pas son nom ! Bah, en fait il devait savoir son nom. Il n'avait simplement pas encore mis de visage dessus. Car vue le montant qu'elle donnait a cette hôpital, presque tous les employer connaissaient son prénom. Ce qui était également une raison de ne pas le lui donner. Elle répliqua donc a son tour...

" - Si vous ne chercher pas et que je reste muette, comment ferez vous pour le connaitre ? Dons de voyance ?"

souriante, elle avait évoquer la voyance. Elle imaginait bien le Dr. Phillip devant une boule de cristal tentant de lire l'avenir. Alors qu'elle parlait, le jeune homme après avoir nettoyer ses lunettes, avait pris place sur l'une des chaises de bois qui se trouvait dans la chambre pour lorsqu'elle recevaitl de la visite. Ce qui signifiait jamais, excepté ce soir. Non pas qu'elle n'avais pas d'amis, loin de la, la blonde ne souhaitait simplement pas être vue dans cette état par le monde avec qui elle travaillait. Elle ajouta également ;

" - Je suis cependant bien heureuse de pouvoir vous garder pour la nuit ! Vous pouvez vous asseoir sur le lits si vous le souhaiter c'est bien plus confortable qu'une chaise. "

Elle même assise dans son lit, laissait bien assez d'espace au bout pour l'homme a la chevelure noisette. Puis, c'était un fait que les chaises étaient très peu confortable.